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27 octobre 2013 7 27 /10 /octobre /2013 10:32

 

 

DSC_0028.jpgQu’allez-vous faire de cette heure supplémentaire aujourd’hui ? Une bénédiction ces 25h en 24h !


Méditez, méditez…

Marchez, marchez… pieds nus dans l’herbe pour remettre à la Terre toutes ces vibrations épuisantes dont nous sommes les antennes…

Marchez, marchez… dans les bois pour capter l’Essence des Arbres, l’Amour de la Terre, la Sagesse des Plantes, la Puissance du Vent dans les arbres…

Reposez-vous… pour ressentir l’Energie de Vie tout autour de vous, le Silence qui vibre d’intensité…


Pour ma part :

- Assise au soleil, les pieds dans l’herbe avec l’odeur enivrante de l’huile essentielle de laurier noble (éviter les bébêtes, style aoûtats encore présents…)

- Musique (merci mon dernier tél portable qui fait baladeur…) : 528Hz fréquence de guérison de l’ADN, puis Musical Rapture…

Cet instant de plénitude m’a permis de :

-  recevoir l’énergie du soleil, les rayons de l’automne, la vitamine D à stocker avant l’hiver

- sentir l’enveloppe verte de l’Amour des Arbres, des orties, de la mauve, de l’herbe qui m’entourent

- entendre en fond la vibration du vent qui me reliait à la Nature, les oiseaux qui célèbrent cet hymne à la vie.

- me relier à l’Energie de Marie : un cocon d’Amour inconditionnel qui permet juste d’être…

Merci !


Ta, tah, tah… Je vous entends d’ici ! Pas difficile de trouver un coin de nature, un jardin, un parc même en ville, quitte à prendre la voiture !

C’est très simple, essayez…

Mille bises d’Amour en ce dimanche de douceur

 

 

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 05:42

525286 302012293201309 193199710749235 758666 719945193 nTrès belle prière de Don Miguel Ruiz que je partage aujourd'hui avec vous.

 

Aujourd’hui, je m’accepte tel(le) que je suis, sans me juger.

J’accepte mon esprit tel qu’il est, avec toutes mes émotions, tous mes espoirs et mes rêves, ma personnalité, ma façon d’être unique.

J’accepte mon corps tel qu’il est, dans toute sa beauté et sa perfection.

Que l’amour que j’ai envers moi-même soit si fort que jamais plus je ne me rejette, ni ne sabote mon bonheur, ma liberté et mon amour.

Désormais, que chacune de mes actions, de mes réactions, de mes pensées et de mes émotions soit fondée sur l’amour. J’accrois mon amour pour moi-même, jusqu’à ce que tout le rêve de ma vie soit transformé et que la peur et les drames cèdent la place à l’amour et la joie.

Que la puissance de mon amour pour moi soit assez forte pour briser tous les mensonges qu’on m’a programmé à croire, tous ceux qui m’ont fait croire que je ne suis pas à la hauteur, pas assez fort(e), pas assez intelligent(e), et que je ne m’en sortirai pas.

Que la puissance de mon amour pour moi soit si forte que je n’aie plus besoin de vivre ma vie en accord avec l’opinion d’autrui.

J’ai une confiance totale en ma capacité à effectuer les choix que je dois faire.

Paré de mon amour pour moi je n’ai plus peur de faire face à quelque responsabilité que ce soit dans ma vie, ni à quelque problème dont je trouve la solution quand il se présente.

Quoique je veuille accomplir, puissé-je le faire avec la puissance de mon amour pour moi-même.

A partir d’aujourd’hui, je m’aime tellement moi-même que je ne fais plus rien contre moi.

Je peux vivre ma vie en étant moi-même et non en prétendant être quelqu’un d’autre dans le but de plaire à autrui.

Je n’ai plus besoin que les autres me disent du bien de moi, car je sais qui je suis.

Grâce à mon amour pour moi, je prends désormais plaisir à l’image que me renvoie le miroir de moi-même.

Qu’un sourire illumine mon visage et qu’il accroisse ma beauté intérieure et extérieure. Je ressens un tel amour pour moi que ma propre présence m’est toujours un plaisir.

Je m’aime sans jugement car lorsque je me juge, il en résulte des reproches et de la culpabilité puis le besoin de me punir, de sorte que je perds de vue mon amour.

Je fortifie ma volonté de me pardonner en cet instant.

Je nettoie mon esprit de tout poison émotionnel et de tout jugement afin de vivre dans la paix et l’amour.

Que mon amour pour moi-même soit la force qui change le rêve de ma vie !

Armé de ce nouveau pouvoir dans mon cœur, le pouvoir de l’amour de soi, je transforme chacune de mes relations à commencer par celles que j’ai avec moi-même.

Je me libère de tout conflit avec autrui.

Je suis heureux(se) de passer du temps avec ceux qui me sont chers et je leur pardonne toute injustice encore ressentie en moi.

Je m’aime tellement que je peux pardonner quiconque m’a blessé(e) dans mon existence.

J’ai le courage d’aimer ma famille et mes amis sans conditions et de modifier mes relations de la façon la plus positive et la plus empreinte d’amour.

Je crée de nouveaux canaux de communication dans mes relations, de manière à ce qu’il n’y ait plus de guerre de pouvoir, ni de perdant ou de gagnant.

Je peux travailler en équipe, pour l’amour, pour la joie et pour l’harmonie.

Mes relations avec ma famille et mes amis sont fondées sur le respect et la joie, afin de ne plus ressentir le besoin de leur dire comment penser ou se comporter.

Mes relations romantiques sont les plus merveilleuses.

La joie m’envahit chaque fois que je partage mon amour avec mon partenaire.

J’accepte les autres tels qu’ils sont, sans jugement, car lorsque je les rejette, je me rejette moi-même.Et quand je me rejette, on me rejette.

Aujourd’hui, je prends un nouveau départ

Je recommence ma vie en ce jour avec la puissance de l’amour de soi.

J’apprécie ma vie, j’apprécie mes relations, j’explore la vie, je prends des risques, je suis vivant (e), je ne vis plus dans la crainte de l’amour.

J’ouvre mon cœur à l’amour qui est mon droit de naissance.

Je deviens Maître de la Gratitude, de la Générosité et de l’Amour afin de pouvoir jouir de toutes les créations à tout jamais.

 

Publié par Brindille sur http://www.messagesrecus.com/ . Merci Brindille !525286_302012293201309_193199710749235_758666_719945193_n.jpg

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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 16:33

Marie-copie-2.jpg« Préservé depuis des siècles dans les textes et les traditions des habitants des hauteurs du monde, l’art perdu de la prière ne comporte ni mots ni expressions extérieurs. Il est uniquement fondé sur le sentiment.

Plus précisément, il nous invite à nous sentir comme si notre prière avait déjà été exaucée, plutôt que d’avoir l’impression d’être impuissants et indigents en demandant de l’aide à une source supérieure.

 

Ces dernières années, des études ont démontré que c’est la véritable qualité de sentiment qui, de fait, « parle » au Champ qui nous unit au monde. Par des prières fondées sur le sentiment, nous nous donnons le pouvoir de prendre part à la guérison de notre vie et de nos relations, aussi bien que de nos corps et de notre monde. »

 

« La prière est le langage de Dieu et des anges. C’est aussi le langage qui nous a été donné pour guérir les souffrances de la vie avec sagesse, beauté et grâce. »

« Quand nous savons, hors de tout doute, que nous parlons déjà le langage du sentiment de la prière, nous éveillons cette partie de nous qui ne peut jamais être volée ou perdue, ni nous être retirée. C’est le secret de l’art perdu de la prière ».

 

Dans « Secrets de l’art perdu de la prière », Gregg Braden explique comment il s’est retrouvé sur un haut plateau du Nouveau-Mexique, en plein sècheresse, avec son ami indigène David pour « prier la pluie » dans un ancien cercle de pierres. 

 

« Je n’étais pas préparé pour ce que j’ai vu ensuite. J’ai observé en silence, pendant que David enlevait ses souliers, avançait doucement, pieds nu dans le cercle, et honorait les quatre directions et tous ses ancêtres. Lentement, il a posé ses mains devant son visage en un geste de prière, il a fermé les yeux, et il s’est immobilisé. Oubliant la chaleur du soleil du midi du désert, sa respiration s’est ralentie et est devenue à peine perceptible. Après seulement quelques moments, il a pris une profonde respiration, il a ouvert les yeux pour me regarder, et il a dit : « Partons. Notre travail est terminé ici ».

 

M’attendant à le voir danser ou à tout le moins entonner quelques chants, j’étais surpris de voir comment sa prière avait commencé puis s’était terminée tout aussi rapidement. « Déjà ? » ai-je demandé. « Je croyais que tu allais prier pour la pluie !».

David a levé les yeux vers moi et a souri. « Non, a-t-il répondu. J’ai dit que je prierais la pluie. Si j’avais prié pour de la pluie, elle ne viendrait jamais ».

 

« La clé », a-t-il expliqué, « c’est que si nous demandons que quelque chose arrive, nous donnons du pouvoir à ce que nous ne possédons pas. Les prières pour de la guérison donnent du pouvoir à la maladie. Des prières pour de la pluie donnent du pouvoir à la sècheresse. Si nous continuons à demander pour obtenir ces choses, cela ne donne que plus de pouvoir aux choses que nous aimerions changer ».

 

Regardant à nouveau David, je lui ai demandé : « Si tu n’as pas prié pour la pluie, alors qu’as-tu fait ? »

« C’est simple, a-t-il répondu. J’ai commencé à avoir la sensation de ce que l’on ressent quand il pleut. J’ai éprouvé la sensation de la pluie avec mon corps, et le sentiment que je ressens quand je me tiens debout, pieds nus dans la boue, sur la place de notre village, et j’ai respiré l’odeur de la pluie sur les murs de terre de notre village, et j’ai ressenti l’impression qui vient en marchant à travers les champs de maïs – hauts jusqu’à la poitrine – parce qu’il a tellement plu ».

 

Tel est le secret de l’art perdu de la prière.

Je vous souhaite à toutes et à tous une excellente journée.

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 15:54

message-eau-masaru-emoto.jpgMassaru Emoto, reconnu mondialement pour son implication dans les messages de l’eau et qui a révélé l’importance des prières pour leur purification, demande à un maximum de personnes de faire une cérémonie commune pour l’eau du Japon :

“Après le séisme de magnitude 9 massive et le surréaliste tsunami, plus de 10.000 personnes sont toujours portées disparues … même maintenant ….
Le pire est que l’eau dans les réacteurs des centrales nucléaires Fukushima a commencé à fuir, et à contaminer l’océan, l’air et les molécules d’eau des zones environnantes. La formule de l’énergie d’Albert Einstein, E = MC2 signifie en réalité que de l’énergie = nombre de personnes et de la place de la conscience des gens.
N'y a-t-il vraiment rien d'autre à faire ? Je pense que si ! Pendant plus de vingt années de recherche à mesurer le hado et la technologie des cristaux d'eau photographique, j'ai été témoin de ce que l'eau peut devenir positive quand elle reçoit la vibration pure de la prière de l'homme, peu importe comment elle est loin.
La formule de l'énergie d'Albert Einstein, E = MC2 signifie en réalité que de l'énergie = nombre de personnes et de la place de la conscience des gens. Il est maintenant temps de comprendre le vrai sens. Joignons-nous tous la cérémonie de prière en tant que citoyens de la planète Terre. Je voudrais demander à toutes les personnes, pas seulement au Japon, mais partout dans le monde s'il vous plaît de nous aider à trouver une issue à la crise de cette planète !"


La procédure de la prière est la suivante.
Nom de la cérémonie : "Envoyons nos pensées d'amour et de gratitude à toutes les eaux dans les centrales nucléaires à Fukushima"
Jour et heure : 31 mars 2011 (jeudi) 12:00 midi dans chaque fuseau horaire.
S'il vous plaît dire la phrase suivante : "L'eau de la centrale nucléaire de Fukushima, nous sommes désolés de vous faire souffrir. S'il vous plaît pardonnez-nous. Nous vous remercions, et nous vous aimons.”

A dire à haute voix ou dans votre tête. Répétez trois fois en joignant les mains dans une position de prière. Merci beaucoup du fond du cœur.
Avec amour et gratitude,
Masaru Emoto
Messager de l'eau

 

Je pense que nous sommes tous capables de nous mettre dans le cœur et de concentrer tout notre Amour à cette prière pour le Japon, pendant au moins 3 minutes. Que la somme de toutes nos pensées dans le cœur contribuent à purifier l’eau de la terre…

Merci d’avance à tous.

Nathalie

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 12:26

Desert-Tunisien.jpg

Et voilà, déjà le dernier article de la série. Comme je le disais dès le départ, les temps changent, des prises de conscience se font de plus en plus nombreuses. Une multitude de personnes se pose de nouvelles questions au-delà des simples remises en cause existentielles ou matérielles. Par ailleurs, nous nous éloignons de l’image du doux rêveur survivant des « années hippies » souvent parodié dans les films et qui semble flotter entre deux scènes, les yeux perdus dans des rêves psychédéliques. A présent, la méditation, quotidienne dans de nombreuses cultures (de vie), s’impose chaque jour un peu plus dans nos emplois du temps surchargés. Est-elle le fruit de ces remises en question ou l’inverse ? Pour certains d’entre nous elle est une bouffée d’air pour notre âme, pour d’autres une solution pour reprendre conscience. Ce qui est certain, c’est qu’elle a un réel pouvoir sur nos vies à tout niveau. Des statistiques récentes ont montré que des personnes méditant régulièrement sont globalement en meilleure santé qu’avant. Enfin, plus nous serons nombreux à méditer, plus le calme et la sérénité deviendront partie intégrante de nos civilisations. L’heure de la méditation a sonné !

 

Certes, cette pratique répond à certaines règles, mais nous les imposer, c’est déjà suivre une technique et attendre un résultat. Je ne donnerai donc que des suggestions, à chacun d’entre nous de trouver ce qui lui convient le mieux. Pour moi, elle prend tout naturellement sa source dans le lâcher prise du moment. Cela veut dire, ne rien nous imposer et accepter ce qui arrive. Et lorsqu’il n’arrive rien, ce rien est déjà quelque chose. Il y a dix mille façons de méditer, peut-être même une par personne. Nul besoin de s’enfermer dans un ashram ou une cellule monastique pour réussir. Lorsque nous nous asseyons sur un banc devant un paysage qui nous emplit le cœur et les yeux et que nous laissons caresser notre visage par le vent tout en appréciant cet instant divin, c’est déjà une méditation. C’est pouvoir ne penser à rien et en même temps accepter de recevoir des messages d’amour, des réponses à des questions qui vous sembleront d’autant plus surprenantes qu’elles viendront « d’ailleurs ».

 

Bien des raisons peuvent nous entrainer sur les chemins de la méditation : s’offrir un peu de calme, se retrouver, se connecter au Divin, obtenir des réponses… J’ai parlé de causes et non de buts à atteindre. Si nous choisissons de nous poser un instant, d’entrer en nous pour recevoir une aide divine et qu’elle nous semble absente, nous devons accepter qu’elle ne vienne pas ou plus exactement de ne pas la ressentir. Ne pas penser et ne pas attendre quelque chose, voilà de grandes difficultés pour nous occidentaux à qui, dès le plus jeune âge, on nous enseigne qu’il ne faut pas perdre son temps à rêver et qu’il suffit de payer ou demander pour avoir. Et pourtant, s’il y a bien quelque chose qui est à la portée de chacun d’entre nous, c’est bien de méditer et recevoir sans avoir à demander. Si nous désirons sincèrement obtenir de l’aide dans une situation particulière, nous pouvons adresser notre demande ou poser notre question à l’univers avant notre méditation. Si cela est juste et qu’il est temps, nous recevrons l’aide ou la réponse par des images, des pensées d’une manière symbolique ou plus concrète par des évènements ou des informations au cours des journées suivantes. Mais surtout, ne pas attendre La Réponse !

 

« Ma méthode » quotidienne est en grande partie illustrée et présentée dans les articles précédents. Mais je le répète, il n’y a pas de règle ou de loi dans cette pratique, seulement des façons de procéder qui peuvent nous aider à entrer en état de méditation. L’essentiel est de trouver Sa façon, celle où nous nous sentons le mieux et le plus en harmonie avec nous-mêmes et le reste de l’univers.

 

Tout d’abord et c’est quand même la base, nous devons nous trouver un endroit tranquille. S’il est à l’extérieur, nous essayerons de choisir un endroit peu fréquenté pour éviter d’être dérangé et d’avoir « l’esprit ailleurs » à surveiller ce qui se passe. C’est plus facile chez nous si nous avons la chance de pouvoir « réquisitionner » un petit espace. Dans le cas contraire nous prévenons les autres personnes partageant ce lieu de ne pas nous déranger. Nous pouvons créer une ambiance favorable avec quelques bougies et de l’encens tels que l’encens tibétain, de la myrrhe noire d’Ethiopie ou de l’oliban d’Aden connus pour leurs facultés à favoriser l’état méditatif ou la connexion au Divin. (Nous nous les procurons facilement en magasin spécialisé.) Asseyons-nous confortablement sans appuyer le dos au dossier du fauteuil. Plusieurs raisons à cela. Un parfait alignement de notre corps, permet une meilleure circulation d’énergie et une connexion accrue. De plus, si vous êtes comme moi à vous endormir facilement, le fait de ne pas avoir la tête ou le dos appuyés nous empêchera de sombrer dans les bras de Morphée. Les pieds sont posés au sol et le dos bien droit, les yeux dirigés vers l’avant, ni en haut, ni en bas. Nous pouvons aussi méditer avec un fond musical approprié avec des musiques « Zen ». Pour notre part Nathalie et moi, nous nous faisons accompagner par la musique de Michel Pépé ou plus récemment les mantras d’Hein Braat, mais là aussi, nous n’avons que l’embarras du choix. Il est important de choisir des oeuvres qui nous plaisent et je dirais même, nous émeuvent. A nous de faire notre choix. Enfin, nous pouvons aussi rajouter des photos ou dessins d’êtres hautement spirituels que nous nous suivons ou honorons. Lorsque tout est en place, nous y compris, fermons les yeux et réalisons le calme en vous. Evitons bien sûr de penser aux courses à faire l’après midi ou au coup de fil à passer après ce moment privilégié. En parlant de téléphone, il est judicieux de le débrancher ou le couper, il n’y a rien de plus frustrant et violent que d’être sorti d’une bonne méditation par une sonnerie de téléphone. Les petites flammes des bougies scintillent, l’encens se consume doucement, ses volutes parfumées embaument agréablement le lieu, la musique contribue à rendre l’atmosphère calme et sereine.

 

Intérieurement, tranquillement, nous mettons notre conscience dans notre cœur. A partir de cet instant, nous pouvons suivre le « protocole » étudié précédemment. Il ne dure que quelques minutes. Il nous sert en quelque sorte à nous mettre en bonnes conditions pour méditer bien que cet « échauffement » fasse déjà partie de la méditation. Cette réharmonisation nous permet de nous nettoyer de nos pensées perturbatrices, éventuellement de quelques énergies négatives et d’augmenter notre taux vibratoire afin d’être plus réceptif à ce qui pourrait subvenir. Après l’ancrage, la connexion au Divin et le corps de Lumière, nous avons pleinement conscience (peut-être pas forcément au début) de cette énergie qui se confond avec la nôtre, de la sensation d’amour inconditionnel et de sérénité. Sentons comme le bien être fait maintenant partie intégrante de nous-mêmes. Laissons-nous porter par ce calme, cette paix intérieure où tout n’est que lumière et amour. Si des pensées plus matérielles apparaissent, ce qui est normal, laissons-les repartir comme elles sont venues. Parfois des souvenirs, des personnes apparaitront, laissons faire et replongeons dans notre paix intérieure. Si notre tête tombe, endormie, ce n’est pas grave (cela m’arrive souvent), repartons doucement dans notre méditation sans pensée ni geste brusques. Si cela peut nous aider, visualisons un lieu paisible imaginaire ou réel que nous aimons. Contentons-nous d’observer ce qui arrive mais surtout restons serein. Nous pouvons aussi au départ « provoquer les choses ». Par exemple, inviter par la pensée tel être réel ou non à se rendre dans ce lieu. Mais attention, si c’est le cas, de ne pas confondre si nous communiquons avec lui ce que nous pouvons lui faire dire (ou faire) et des informations venues réellement d’ailleurs. La frontière est facilement franchie. Dans tous les cas, même si nous « aidons » un peu, il faut rapidement laisser faire les choses. Nous ne sommes pas acteurs mais observateurs. J’irai même plus loin, nous ne sommes que de modestes apprentis qui, si l’humilité et la sérénité sont parfaitement en nous, peuvent recevoir un message ou un signe de l’Univers, de la Vie. Autant prévenir de suite, cela ne m’arrive que très rarement, donc pas de découragement. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise méditation, si l’on a « vu » ou pas quelque chose.

 

Nous pouvons nous « réveiller » subitement ou choisir naturellement de sortir en douceur de notre état méditatif. Dans tous les cas, faisons le avec calme, lenteur en respectant notre rythme. Il est toujours intéressant de noter nos impressions ou nos visions sitôt après. En effet, si nous avons réussi à laisser notre esprit libre de notre propre influence, les éventuels messages reçus sont importants. Ceux-ci auront pu venir directement de nous car nous avons déjà les réponses en nous, de nos guides ou d’autres énergies. Qu’importe, sachons faire la part des choses entre ce que nous souhaitons entendre et ce qui est juste d’être entendu.

 

Ne soyons pas déçu de nous endormir à chaque fois, que la méditation se transforme en rêve éveillé, de ne rien voir ou pas ce que nous voulons etc... Déjà, choisir le bon moment de la journée peut aider à éviter un endormissement trop fréquent. En outre, le sommeil à ce moment là, peut aussi être utilisé par la Vie pour justement nous faire passer des messages plus facilement. Donc, ne pas juger la qualité de sa méditation. Elle est par définition un lâcher prise, sur quels critères mesurer la qualité d’un lâcher prise ? Même si nous n’avons pas conscience ou pas de souvenirs du moment passé, des échanges d’énergie, nous avons forcément un bénéfice en nous. Avec le temps, nous apprendrons à le reconnaître. Celui-ci continuera toute la journée à nous aider à rayonner. Ce n’est bien entendu pas une solution miracle ni magique. Ce travail « énergétique et méditatif » ne peut trouver sa place et être réellement efficace que si nos pensées restent dans un cadre d’équilibre et d’amour tant pour nous qu’envers les autres. C’est aussi valable pour nos actes bien entendu. Mais ceci fera l’objet d’un prochain article.

 

                                                                                                                                          Jean

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 13:27

Corps-de-lumiere.jpgAvec ce troisième article, après nous être reconnecté à la « Terre Mère » et au « Divin » (je rappelle que c’est nous qui décidons ce que mettons derrière ce mot), nous allons passer à l’étape suivante : Ressentir l’énergie de Lumière en nous.

 

Nous avons longtemps cru Nathalie et moi qu’il fallait s’entourer de protection pour intervenir dans des lieux « pollués », auprès de personnes chargées négativement ou tout simplement dans un environnement énergétiquement hostile. C’était un premier pas, mais la durée de ce type de protection est toujours très limitée dans le temps. A la lecture et la fréquentation d’autres sites et avec notre propre expérimentation, nous avons rapidement constaté que la protection la plus efficace est celle qui vient de l’intérieur et qui se diffuse autour de nous. Celle qui augmente notre propre taux vibratoire.

Tout ce qui existe (mêmes les pensées) vibre à une certaine fréquence. La terre, les planètes, les lieux, les objets, les être vivants vibrent. Cette fréquence est le reflet de l’état à un instant T de son émetteur et a forcément  un impact sur l’environnement proche. Par exemple, il est facile de comprendre que la vibration d’une personne qui a choisi le don de soi et l’amour comme Mère Térésa ou sœur Emmanuelle sera plus élevée et plus bénéfique pour son entourage que celle d’un autre individu en souffrance ne « transpirant » que haine et colère. Des lieux de batailles ou témoins de toute sorte de souffrance ont une vibration moins élevée que celle d’un lieu sacré nourri continuellement par l’amour de ses pèlerins. Il est en de même pour notre nourriture, nos pensées, nos actes etc… Lorsque nous sommes en faiblesse suite à un choc émotionnel, une grande fatigue etc, il se crée des failles dans nos différents corps subtils, qui contribuent à la diminution de notre taux vibratoire qui, à son tour, contribue à la création de failles énergétiques. Un véritable cercle vicieux. A ce moment là, sans vouloir noircir le tableau, nous pouvons servir d’éponge à tout ce qui traîne tant les idées noires, les baisses de moral, que tout un tas d’autres « énergies » et entités encore moins sympathiques. En effet, un taux vibratoire élevé attirera des fréquences élevées et inversement. N’avons-nous jamais remarqué que si nous nous levons le matin « du mauvais pied », c’est souvent l’annonce d’une journée « de galères ». Tout va mal, nous ratons de peu notre train ou notre voiture est coincée dans les embouteillages. Les mauvaises nouvelles et les contrariétés semblent s’être toutes donné rendez-vous le même jour et… c’est aujourd’hui. Rien ne fonctionne et tout semble ligué contre nous. « De toute façon, c’est toujours comme ça ». « Et puis les autres me cassent les pieds ». « Et puis je suis moche… » « Personne ne m’aime moi qui aime tout le monde… » « Je n’arrive à rien faire, tiens même la photocopieuse ne fonctionne pas avec moi… ». Et effectivement toute la journée, ce sera un long, très long défilé de collègues qui viendront se plaindre auprès de nous, de la noirceur de la vie et toutes nos tentatives de travail se solderont par un échec, voire par des pannes techniques. Normal ! Oui, mais par pour la raison qui vient tout d’abord à l’esprit. C’est normal parce qu’à ce moment là, notamment en nous dénigrant (ou les autres), nous ne pouvons attirer que des formes pensées ou des énergies avec des fréquences au mieux aussi basses, au pire beaucoup plus basses que la nôtre. Seule une prise de conscience accompagnée d’une remise en question pourra rétablir l’équilibre. Je donne l’exemple d’une journée, cet état d’esprit si l’on peut dire, peut durer des jours, des semaines et même toute notre vie et bien sûr d’une manière totalement inconsciente. Ainsi, sans vouloir être doux rêveur ou gentil utopiste, avoir des pensées saines et un mode de vie équilibré permet déjà d’entretenir un taux vibratoire acceptable. Nous pouvons aussi par une méthode simple et efficace augmenter volontairement ce taux. Cela nous permet de nous sentir de nouveau mieux très rapidement et plus résistant aux « attaques extérieures ». Cela ne doit pas par contre, nous faire oublier notre prise de conscience et les actions à entreprendre pour améliorer notre vie.

 

Nous pouvons aussi retrouver ce phénomène de « contamination collective » lorsqu’il s’agit de pensées négatives voire de haine ou de colère, dans les mouvements de groupe ou de foule. Schématiquement, des formes pensées puissamment émises par quelques individus trouvent un écho favorable dans d’autres esprits. Il se forme un véritable égrégore qui pèse comme une chape de plomb sur la masse de personnes présentes et peut leur faire commettre des actes que leur esprit individuel ne pourrait envisager.

 

Si les énergies ou des pensées négatives nous pénètrent aussi facilement, c’est d’une part lorsque cela se produit, parce que notre fréquence est basse et qu’en plus, nous leur laissons toute la place nécessaire pour venir nous polluer. Aussi, si au préalable, nous prenons l’habitude de nous « remplir » d’énergie fortement positive, non seulement, notre fréquence sera élevée mais nous offrirons beaucoup moins de possibilités aux intrusions parasites.

 

Reprenons les étapes précédentes. Faisons notre ancrage, la conscience dans notre cœur, dans les pieds, les racines, l’échange d’énergie. Puis la connexion au Divin, la conscience au niveau du septième chakra, le canal de lumière et de nouveau l’échange d’énergie. Nous avons tous en nous une partie du Divin, du Créateur, de l’Energie de Vie, de l’Univers… Nous sommes tous issus de cette même Source. Alors, visualisons dans notre poitrine, au niveau du quatrième chakra une petite sphère de Lumière. Elle est très très brillante. Mais ce n’est pas une simple sphère, c’est l’Energie de Vie, l’Energie Divine qui la constitue. Elle est toujours en nous mais nous pouvons profiter de la circulation d’énergie créée plus tôt, pour continuer à la remplir. Alors, nous prenons conscience que cette sphère lumineuse augmente son diamètre, devient de plus en plus brillante. Une douce chaleur à la fois paisible et puissante se dégage d’elle. La sphère vient épouser la largeur de notre corps alors que sa lumière et sa chaleur se répandent dans tous nos membres de la tête aux pieds. A chaque inspiration et à chaque expiration, cette énergie se densifie. Pour m’aider, j’ai coutume d’imaginer de la fumée qui augmenterait en densité dans une sphère transparente. Cette énergie, non seulement suit les contours de notre corps mais elle circule à présent dans toutes nos veines, irradie de sa puissance chacune de nos cellules. Elle emplit notre coeur et notre âme. Nous nous laissons envahir par cette douce chaleur, nous avons l’impression d’être éclairé de l’intérieur. (Elle irradie même autour de nous au-delà de notre corps physique). Nous ressentons l’amour et la paix en nous. Nous acceptons de nous regarder avec compassion comme nous regardons désormais les autres. Nous prenons conscience que nous faisons partie d’un Tout, que la Vie coule en nous, que l’Energie de la Vie est en nous. Nous pouvons rester à ressentir ces bienfaits aussi longtemps que nous le désirons.

 

Cette pratique régulière nous permet de maintenir notre fréquence vibratoire à un niveau plus élevé qu’auparavant. Elle améliore en outre la qualité de nos méditations et nous entraîne peu à peu dans un respect grandissant de nous-mêmes (puisque nous sommes dignes d’avoir le « Divin » en nous), des autres et de la Vie en général. Elle nous aide à nous sentir mieux dans notre vie quotidienne face aux intrusions extérieures. Toutefois elle ne remplace en aucun cas un « nettoyage », un travail psychologique ou thérapeutique pour trouver l’origine d’un mal-être plus profond.  

 

                                                                                              Jean

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 11:57

Ancrage-ciel-et-terre.JPGNous avons vu dans l’article précédent comment s’ancrer. Pour la plupart d’entre nous, nous manquons de cet ancrage qui permet pourtant d’être présent, agir et penser en conscience. Et c’est cette conscience qui fait toute la différence. C’est un peu comme signer devant un notaire, où notre griffe au bas d’un document nous lie à ce qui y est écrit. Faire une action, penser, parler en conscience donne à cet acte, une dimension énergétique multidimensionnelle. Désormais, notre décision est ancrée dans la mémoire universelle. A présent, parlons de la connexion avec le Divin, la Source de Vie, l’Univers… appelons cela comme nous le désirons. Nous allons aussi réapprendre à unifier ces formidables puissances du ciel et de la terre. Cette circulation des énergies rejoint la pratique du Qi Gong (ou Chi Kung), les mouvements en moins.

 

Nous venons donc de réaliser notre ancrage. Nous sentons l’énergie de la Terre Mère remonter en nous par nos racines jusqu’à notre quatrième chakra. Puis à l’expiration, elle fait le chemin inverse, chargée de notre propre énergie. Nous plaçons maintenant notre conscience dans la partie supérieure de notre corps. Au niveau de notre septième chakra pour être plus précis, c'est-à-dire, un peu au dessus du crâne. Personnellement, c’est comme si je mettais mon esprit avec mes yeux au-dessus de ma tête. Nous invoquons l’énergie Divine, le Divin, la Vie, enfin ce qui nous parle ou selon notre religion, chacun s’adresse à qui il veut. Comme précédemment, nous prononçons : « je me relie à… ». Nous ressentons (au début nous pouvons l’imaginer comme un tube transparent où circule une lumière dense et vive) un canal de lumière descendre du ciel, au-dessus de nous et apportant directement dans notre cœur l’énergie de … (qui vous avez choisi) par notre septième chakra. C’est une grande sérénité emplie de lumière mais surtout d’amour inconditionnel qui nous pénètre à chaque inspiration. Cela peut aussi être accompagné de couleurs vives, d’une sensation de chaleur etc… Nous prenons conscience de cette nouvelle énergie, de ce bien-être qui s’empare de nous, de cet amour indescriptible et nous le sentons sans jugement. Et cet amour pur n’attend rien en retour, il se contente d’être et d’apporter la paix. Ne soyons pas déçu si nous ne ressentons pas immédiatement la présence du canal. Même dans ce cas, les effets sont en nous, nul doute à avoir. Et pour ma part, il m’a fallu des dizaines de méditations pour commencer à le sentir.

 

Nous brassons maintenant toujours dans notre cœur, cette nouvelle énergie à celle de la terre (voir l’article précédent sur l’ancrage) et la nôtre avant de renvoyer le tout à l’expiration à la fois dans nos racines et par le canal de lumière. Nous sentons parfaitement la sérénité et le bien-être circuler en nous et inonder désormais notre corps, notre âme. A partir de maintenant laissons-nous porter par cette paix intérieure où tout n’est que lumière et amour.

 

Le fait de nous reconnecter à « la Terre » et « au ciel » nous permet de rééquilibrer l’énergie de notre corps et surtout notre esprit. Celui-ci, sans cesse sollicité est trop souvent trop « terre à terre » ou « dans la lune ». Ce qui n’est encore qu’un moindre mal. Nous nous laissons facilement détourner de notre voie (j’en sais quelque chose) par toutes les vessies qui virevoltent autour de nous en guise de lanternes. Ces vessies ou ces carottes qu’une foule de personnes bien intentionnées nous agitent sous le nez dès notre plus « tendre » enfance en nous imposant les objectifs qu’elles ont choisis pour nous. Je ne parle pas seulement de la famille mais de tout notre environnement scolaire, professionnel, social, étatique, médiatique etc... Socrate disait déjà et plus tard Molière, « il faut manger pour vivre et non vivre pour manger ». L’ancrage et la reconnexion nous permettent chaque jour de revenir sur notre voie d’Humain destiné à se réaliser et non se laisser abrutir par des fausses promesses de bonheur matériel. Il ne s’agit pas de faire vœu de pauvreté mais la véritable richesse est de nous trouver, nous réaliser et aider les autres dans ce sens. L’argent est une énergie qui doit circuler et qui peut être bénéfique si elle est utilisée avec justesse. Mais une énergie ne peut être le but d’une vie. Chaque jour un peu plus, nous recevons des informations comme quoi la « vraie vie » est celle du pouvoir, celle du « numéro 1 ». On nous enseigne que le stress doit obligatoirement faire partie de notre vie, que c’est normal…  comme la mise au placard de nos rêves. Il faut aller de plus en plus vite, pousser ou écraser nos voisins, nos collègues, jusqu’au… suicide ???? Que nenni. Le véritable pouvoir est celui de dire « oui » à la vie qui est en nous, celle qui fait de nous un homme ou une femme responsable de sa façon de vivre. Le véritable pouvoir est celui d’oser ralentir pour nous poser, regarder autour de nous et en nous. Et paradoxalement, c’est là où nous redeviendrons efficaces dans notre vie tant privée que professionnelle parce que notre vision et nos actes seront justes pour nous et en harmonie avec nos propres choix.

 

Cette pratique a une puissance extraordinaire que nous sommes loin de soupçonner au début. Elle nous reconnecte à l’Univers, à ce qui nous est bénéfique. Ecoutons la petite voix qui ne tardera pas à se faire entendre, celle de la sagesse, de l’Amour inconditionnel. En suivant ses conseils ou notre intuition, (c’est souvent la même chose), en conscience, nous serons en mesure de prendre les bonnes décisions pour nous, basées sur une vision de bien-être et non plus de paraître. Cet instant privilégié de reconnexion ne prend que peu de temps, alors nous pouvons en abuser encore et encore. Et à force de patience, quelle récompense que de retrouver notre âme véritable.

  

                                                                                              Jean

                                                                                             

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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 20:03

Arbre-ancrage-energie-et-geobiologie.jpgCet article est le premier d’une série de quatre qui se succéderont rapidement et qui seront liés entre eux avec la méditation et le bien être en fils conducteurs. Ils traiteront successivement de l’ancrage, de la connexion au Divin, de la méditation et enfin de la protection vis-à-vis des agressions extérieures. De quoi, par une pratique régulière, nous permettre de nous recentrer peu à peu face à un mode de vie de plus en plus intrusif et abrutissant.

 

Commençons par l’ancrage. Autour de nous et sur la planète entière le temps s’accélère. Dans nos différentes professions et notre vie privée, il nous faut être de plus en plus performant, faire de plus en plus de choses à la fois. Et pendant ce temps, avec le taux vibratoire de la terre qui s’élève, les temps changent. Un besoin grandissant de se poser, de regarder, de contempler, de… méditer se fait sentir. Pour nous aider, l’ancrage est un passage obligé qui permet à notre corps et notre âme de retrouver leurs racines et surtout leur véritable place en nous et autour de nous. L’une des pathologies régulièrement rencontrées lors de nos séances est le manque d’ancrage des personnes, manque de repères qui aboutissent généralement à des problèmes de territoire et un manque évident d’espace vital. Tout est intimement lié, mais essayons ensemble de décortiquer l’affaire et d’y voir un peu plus clair.

 

Schématiquement, nous pouvons comparer l’ancrage au fait d’avoir les pieds sur terre. C’est donc tout l’inverse d’avoir la tête dans les étoiles et l’esprit perdu dans ses pensées. Mais en allant plus loin, l’ancrage, c’est vraiment sentir ses « racines » s’enfoncer dans la terre, être présent physiquement dans ses actes. S’ancrer, c’est EXISTER, prendre CONSCIENCE DE SOI. Dans un précédent article (Ame mon amie), j’expliquais comment la Vie m’avait ramené à la réalité en me faisant trébucher parce que justement je n’étais pas présent, pas ancré. Lors de la pratique des arts martiaux, la première chose que nous apprenons est de nous tenir debout dans tous les sens du terme, d’une manière stable sur nos jambes, le roc dans la tempête. Le corps lui, reste souple, pivote, absorbe, répond aux mouvements, seulement si l’édifice humain est solide sur ses pieds. C’est d’une telle évidence. Qui irait couler du béton pour les fondations d’une maison directement sur des marais ? Pour une construction pérenne, nous choisissons un sol solide ou sinon, nous cherchons aussi profondément qu’il le faut, une base fiable sur laquelle l’appuyer. Alors pourquoi ne pas suivre cette logique lorsqu’il s’agit de nous et de notre propre vie ?

 

Etre ancré, c’est être présent, et même plus, vivant ! Pas seulement d’une manière organique mais par sa présence physique et son esprit. Il ne s’agit pas de piétiner les pieds de ses voisins mais d’avoir conscience de notre place à tenir. Nous occupons un certain espace, nous sommes capables de raisonner, d’aimer ou pas quelque chose, d’agir, etc... Pour la plupart d’entre nous et je me sens aussi concerné, le plus difficile est sans doute d’accepter nos choix, et surtout de refuser que nos propres pieds soient écrasés. Savoir dire non, en un mot, se respecter et se faire respecter. C’est en agissant de la sorte que les autres commenceront à reconnaitre notre valeur et ce qui fait de nous un Etre unique et véritable.

 

L’ancrage d’un point de vue énergétique permet de se ressourcer -et le terme n’est pas galvaudé- en se branchant directement à l’énergie « maternelle », protectrice mais extraordinairement puissante, la Terre Mère. Celle-là même qu’honoraient les civilisations anciennes et plus près de nous, les indiens. Cette pratique nous met directement en contact avec les forces telluriques. Nous nous connectons à l’amour terrestre, et en plongeant profondément nos racines en elle jusqu’au magma, c’est un brasier puissant qui ranime notre feu intérieur. De là, la force magnétique de la terre nous colle véritablement les plantes de pieds au sol. Nous faisons souvent l’expérience avec Nathalie de nous pousser après un ancrage en commun. Il faut vraiment mettre de la « bonne volonté » pour réussir à déstabiliser l’autre. D’ailleurs, tous les pratiquants de Tai Qi ou Qi Gong comprennent ce que je veux dire. Il est temps je crois, de voir un peu plus en détail la méthode que j’utilise actuellement. Je vous rappelle qu’il n’y a pas de technique meilleure qu’une autre, l’important est que vous vous sentiez à l’aise. Ceci est un exemple, à vous de l’adapter à votre ressenti. Rien toutefois ne viendra tout seul. 

 

Pour les premières fois, trouvons-nous un endroit tranquille. Par la suite, avec un peu d’entrainement, nous pourrons nous ancrer n’importe où et instantanément. Nous pouvons rester debout ou si cela pose problème, assis, pour une méditation plus longue par exemple. L’important est d’avoir le dos droit, le bassin ramené vers l’avant, la tête à l’horizontal, les yeux dirigés vers l’avant, ni en haut, ni en bas. Si nous sommes assis, nous décroisons les jambes, les bras, les doigts. Avec le parfait alignement de notre corps, cela permet une meilleure circulation d’énergie et une connexion accrue. Lorsque nous sommes en place, nous fermons les yeux et réalisons le calme en vous. Nous évitons bien sûr de penser aux courses à faire ou le coup de fil à passer tout de suite après cet instant privilégié. En parlant de téléphone, pensez à le débrancher, il n’y a rien de plus frustrant et violent d’être sorti d’un moment de plénitude par une sonnerie de téléphone.

 

Maintenant intérieurement, nous mettons notre conscience dans notre cœur. Pour nous aider au début, nous pouvons dire « je mets ma conscience dans mon cœur » (pas trop fort évidemment). (Au départ, j’imaginais mon esprit se déplacer de ma boite crânienne pour émigrer dans ma cage thoracique). Nous sentons un changement subtil au niveau de notre poitrine. Comme si justement, nous venions de prendre conscience de cette partie de notre corps. Ressentons cet état le temps qu’il faut, notre conscience est descendue dans notre cœur. A présent, nous la faisons descendre dans nos pieds, là aussi pour nous aider, nous pouvons dire à voix basse : « je mets ma conscience dans mes pieds ». A ce moment, nous sentons nos pieds comme s’accrocher au sol, « s’ancrer ». Le bas de nos jambes semble plus lourd mais pas d’une manière malsaine, au contraire nous « découvrons » l’existence de nos jambes. Apprécions cette « découverte ». Et puis, imaginons des racines sortir de nos pieds et s’enfoncer vigoureusement dans le sol. Elles traversent le plancher ou le carrelage, les étages s’il y en a, s’enfoncent dans les fondations de la maison ou du bâtiment. Nous les voyons parfaitement faire le tour des obstacles souterrains, les pierres, les rochers, s’enfoncer encore plus profondément dans la terre, pourquoi pas, traverser des nappes d’eau, des cavités et puis, soyons fous, s’enfoncer sur des kilomètres jusqu’au centre de la terre, au coeur de la Terre Mère. Soyons rassuré, la chaleur ne brûle pas nos racines, au contraire, lorsque nous inspirons, nous sentons l’énergie de cette terre nourricière remonter en nous par nos racines, se répandre dans notre corps par toutes nos veines et emplir notre cœur. Cette énergie se confond avec la nôtre et à l’expiration, nous renvoyons cette énergie commune par le chemin inverse tout en prenant conscience de l’amour qui se répand en nous et que nous partageons avec la Terre Mère. Nous ne sommes pas pressé, faisons cela là encore, le temps qu’il faut. Nous nous sentons envahi d’une sensation de sérénité et de bonheur parfois inconnus jusqu’alors. Nous inspirons l’énergie de la terre, nous expirons notre énergie. Nous prenons parfaitement conscience que nous faisons partie intégrante de la Terre, de notre présence dans notre environnement immédiat, de notre existence. Nous sommes Nous. Lorsque nous le décidons, nous quittons peu à peu tout en remerciant la Terre Mère pour ce partage et en gardant présent à notre esprit ces minutes privilégiées. A partir de cet instant, restons présent à ce que nous faisons.

 

Au départ, cette pratique dure deux ou trois minutes si vous êtes gourmand comme moi. En réalité, avec l’habitude, quelques secondes vous suffiront bientôt à vous ancrer. Deux difficultés peuvent entraver l’efficacité de ce travail. Tout d’abord, nos propres barrières, croire ou ne pas croire en sa réussite (de l’ancrage) avec éventuellement un esprit « volatile » et surtout… oublier de le faire. En effet, c’est bien de faire notre ancrage lorsque tout va bien, c’est cent fois plus important lorsque cela va moins bien et c’est pourtant là (j’en sais quelque chose) que nous allons dépenser notre énergie à râler ou lutter contre l’agression (au sens large) plutôt que de nous abreuver à la source bénéfique. Alors, n’hésitons pas, le matin, dans les transports, avant (ou pendant) un rendez-vous important, au passage d’un examen, lors d’une situation difficile ou tout simplement lorsque nous avons l’impression que le monde nous échappe, que nous ne savons plus qui nous sommes, ancrons nous, ancrons nous, ancrons nous !

 

Je rappelle pour terminer qu’il n’y a aucun enjeu, que tout vient à point à qui sait attendre (et persévérer). Certains parmi nous ressentiront des choses extraordinaires dès les premières fois, pour d’autres, cela sera plus long, cela n’a aucune importance. L’important, c’est Nous. Notre conscience et notre désir à redevenir nous-mêmes, pas forcément celui que nous croyons connaitre mais l’Etre Divin que nous incarnons et qui sommeille encore en nous.

 

Dans les prochains jours (j’espère), nous parlerons de l’autre connexion, en haut du corps, celle avec le Divin, histoire de rééquilibrer. N’hésitez surtout pas à nous faire part de votre expérience pour ceux d’entre vous qui testeront cette méthode qui je vous le répète une dernière fois, est une parmi tant d’autres. Ainsi que vos questions si je n’ai pas été assez clair bien entendu.

 

                                                                                                Jean                                                                       

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