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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 11:05

 

Maison moyen ageBonjour à tous.

GEOBIOLOGIE: LA MEMOIRE DES LIEUX:

Lorsque nous parlons de notre métier, les personnes nous demandent souvent ce qu’il en est des maisons anciennes. Soyons clair, que les maisons soient anciennes ou récentes, elles ont toujours des mémoires et dès leur construction, un passé énergétique. Les maisons neuves ont les mémoires des artisans, de l’énergie bonne ou mauvaise qu’ils ont laissée ainsi que du passé du terrain. Les maisons anciennes, n’en parlons pas… ou plutôt si, voici un bel exemple d’autant plus intéressant que nous sommes « retombés » deux jours plus tard sur un phénomène du même genre en plus dramatique. (Désolé pour la longueur de l’article mais il y avait tant de choses à dire…)

 

EXPERTISE GEOBIOLOGIQUE:

Françoise et Patrick habitent une maison familiale du 16ème siècle dans un village médiéval. L’habitation est coincée entre un château, une église et des bâtiments religieux dont l’un a un taux vibratoire particulièrement bas. Françoise, diététicienne de son métier se plaint de la diminution de sa clientèle et d’avoir la vie quotidienne souvent perturbée par des manifestations étranges. Il faut dire que Françoise est aussi medium, qu’elle perçoit et voit certaines « énergies ». Elle reçoit en outre parfois des messages en canalisation. C’est lors d’une réception de message qu’elle apprend qu’une fillette est morte étouffée dans cette maison. Comme par « hasard », l’enfant de Françoise et Patrick souffrait d’asthme lorsqu’il était plus jeune. Un coma pendant son enfance semble être à l’origine de la clairvoyance de la jeune femme.

 

Dès notre entrée dans la maison, Nathalie ressent un malaise lorsqu’elle se trouve entre deux cheminées qui se font face dans l’unique grande pièce (cuisine, salle à manger, salon) à l’étage. La plus grande cheminée (plusieurs mètres de large), celle côté salle à manger est très ancienne et fut mise à jour lors de la démolition d’un mur. Au moment de sa découverte, Françoise y vit clairement l’image d’un homme tout de noir vêtu avec un grand chapeau assis dans le cantou.

 

Dès le début de l’expertise, une entité non humaine est découverte et transmutée. Lors de cette transmutation, Françoise ressent la présence de sa mère, disparue depuis plusieurs mois. A l’endroit de l’entité (juste devant l’entrée de la chambre (pièce voisine), la jeune femme se souvient que sa grand-mère lui a toujours dit lorsqu’elle était petite de ne rien faire dans cette pièce et qu’en creusant à cet endroit, elle pourrait tomber sur des caves ou des tunnels provenant du château. Nous sommes « en plein » dans les fondations de la maison, c’est-à-dire, les racines de la famille. Ici, le transgénérationnel rejoint l’harmonisation de la maison (nous n’aborderons pas cet aspect très privé dans cet article bien que la « charge » des mémoires familiales soient très importantes dans la vie de Françoise).

 

CHEMINEE COSMOTELLURIQUE ET RESEAU TELLURIQUE HARTMANN:

Comme en radiesthésie, nous utilisons des baguettes. Celles-ci nous guident dans la chambre du couple. Cette chambre était celle de la mère de Françoise, malade et maintenant décédée. Alors que le radiateur de la chambre fonctionnait à cette époque à pleine efficacité, du jour du décès, celui-ci a cessé de fonctionner, du moins convenablement (malgré de nombreuses réparations et révisions bien entendu). C’est ainsi que Françoise et Patrick ont passé tout l’hiver sans chauffage jusqu’à… la nuit dernière où le radiateur s’est remis à fonctionner normalement sans intervention humaine, juste après que Françoise nous ai appelés… De plus, une grande armoire occupe une partie de la pièce et celle-ci craque régulièrement et mystérieusement tous les matins juste après le départ de Patrick qui se lève le premier*. Un élément important joue aussi en défaveur de l’harmonie de cette pièce : le compteur électrique y est installé**. A ce sujet, le couple nous explique en cœur avoir observé une sorte de boule blanche provenant du compteur puis traverser la chambre pour disparaitre dans un mur. Très rapidement, nous détectons une cheminée cosmotellurique, à côté d’un croisement tellurique de réseau Hartmann. En vérifiant avec les habitants du lieu, nous nous rendons compte que celle-ci est à l’aplomb de la cheminée (en pierre) de la salle à manger. L’ennui est que cette cheminée est « habitée » par de nombreuses âmes humaines et l'énergie disharmonieuse du phénomène est amplifiée par les miroirs de l’armoire. L’équilibre énergétique est rapidement remis en ordre d’un point de vue tellurique et l’influence électromagnétique du compteur transmutée par une orgonite*** posée dessus.

 

TRANSMUTATION:

Après une nouvelle transmutation d’entité non humaine dans une pièce intermédiaire, nous arrivons dans le cabinet de diététique de Françoise. Le taux vibratoire est particulièrement bas, malgré l’encens brûlé régulièrement. Je ressens une sorte de blocage, une idée d’énergie confinée. Nous apprenons que cette pièce était autrefois une succursale bancaire et que ses anciens occupants lors de l’achat du bâtiment mirent plusieurs mois à libérer les lieux, d’une manière illicite. De plus, j’ai l’intuition que cette vieille énergie financière (mais « l’énergie argent » n’est pas négative en elle-même) telle qu’elle était employée, se rapproche plus des « secrets d’affaire », de l’argent gardé dans des coffres (alors que l’énergie même financière doit circuler librement) que de l’abondance et l’ouverture vers l’extérieur. Comment développer avec succès une activité si sur elle, semble posée une chape étouffante, voire oppressante qui ne laisse rien sortir au dehors ? Là aussi, nos protocoles permettent de rétablir harmonieusement la situation.

 

PASSAGE DE FANTOMES:

 Le rez-de-chaussée terminé, les baguettes nous conduisent à l’étage qui se trouve être le lieu de vie quotidien. Pour rappel, l’étage est formé par la cuisine, la salle à manger et le salon qui forment une unique et grande pièce. Dans l’escalier qui y mène, Nathalie et moi avons la même sensation de vertige et de perte d’équilibre. Françoise nous dit qu’il lui arrive souvent d’avoir l’impression d’être « bousculée » par quelque chose dans cet escalier. Nous nous retrouvons entre les deux cheminées de l’étage qui se font face. Nathalie ressent de nouveau son malaise et les baguettes semblent un peu perdues (et moi aussi). Rapidement et grâce aux ressentis de chacun, nous comprenons que nous sommes au cœur d’un « passage d’âmes errantes », un passage de fantômes... Il commence de la grande cheminée (là où se trouvait la cheminée cosmotellurique) et se termine par la porte d’accès du cabinet de diététique (à l’étage inférieur) en passant bien sûr par l’escalier. C’est la première fois que nous rencontrons concrètement ce type de phénomène. Toutes les personnes présentes peuvent « toucher » les limites énergétiques de ce couloir avec pour certaines, une grande sensation de froid. A ce moment de l’expertise, nous ignorons encore comment libérer la maison et ses hôtes de cette lourde charge énergétique. Finalement, les informations et les bonnes questions nous viennent. Généralement, les phénomènes telluriques importants ont des « gardiens ». Nous tentons notre chance et le découvrons mais quel est son type d’énergie ? Finalement, nous faisons le lien avec l’âme humaine toute en noir observée par Françoise quelques années plus tôt dans la cheminée et obtenons la confirmation. En tant que gardien, l’âme nous confirme être en mesure de faire disparaître ce passage mais s’y refuse pour l’instant. Une condition s’impose ! En résumé, cette âme qui a vécu dans cette maison de son vivant, se considère coupable d’une action grave et par ce fait, est coincée ici. Comment réussir à lui faire gagner la Lumière et en même temps, libérer cette vieille demeure de ce passage particulièrement perturbant d’âmes errantes**** ? La solution vient lorsque nous repensons à l’histoire de la petite fille morte étouffée. L’âme de l’enfant est elle aussi toujours présente et en vérifiant avec les baguettes nous apprenons que « l’homme en noir » est le père de celle-ci. Nous n’avons pas recherché les causes de la mort mais toujours est-il que l’homme en noir se sent responsable du drame. S’est-il condamné lui-même à cette pénitence ou ne voulait-il pas « monter » en laissant cet être aimé derrière lui ? Qu’importe, l’important est de les réunir de nouveau et transmuter tout ce beau monde (les âmes circulant dans le passage y compris) dans la Lumière. C’est un moment très fort que nous vivons lors de ce rituel avec l’aide de Françoise et Patrick. Une très grande émotion enveloppe chacun de nous d’autant que Françoise ressent subitement les bras de la petite fille l’enserrer au dernier moment. Elle comprend alors que l’âme de l’enfant la remercie et lui dit adieu.

 

Ce récit peut sembler surprenant voire irréel à certains d'entre vous. Tout ce qui est écrit ici a été vécu et ressenti par les quatre personnes présentes sensiblement de la même manière. Il est toutefois très difficile de décrire avec de simples mots ce qui nous parcourt dans des moments semblables. Mais il y a des émotions, et des frissons qui ne trompent pas. Il faut vraiment avoir vécu ce genre d’expérience pour en ressentir toute la richesse et la puissance émotionnelle dans son cœur. C’est comme si, nous étions tout à coup connecté à un ami et que nous revivions des adieux. C’est très fort et même si les larmes viennent souvent, elles n’ont rien à voir avec la tristesse. Par ailleurs, il y a une sensation de paix et d’harmonie qui s’installe dans le lieu au fur et à mesure de notre progression et que le taux vibratoire remonte.

 

Jean

 

 

* Françoise nous a confirmé depuis que l’armoire ne craque plus, le radiateur lui par contre a recommencé parfois à ne plus chauffer.

 

** La nuit, pendant notre sommeil, nos défenses naturelles énergétiques sont au repos. De ce fait, nous sommes beaucoup plus sensibles aux ondes électromagnétiques, lampes (mêmes éteintes) proches, radioréveils ou TELEPHONES sur la table de nuit, télévision, etc et bien sûr un compteur électrique éventuel.

 

*** Une orgonite est composée de cristaux et métaux nobles, végétaux etc, le tout lié par de la résine et… d’autres secrets de fabrication… Elle opère comme un transmutateur d’énergie et renforce notre champ vital afin de nous rendre moins sensible aux ondes électromagnétiques et autres perturbations telluriques ou énergétiques.

 

**** Lors d’une harmonisation suivante, nous détectons un autre passage d’âmes, avec toujours pour origine, une cheminée. Le passage suit ensuite un couloir, arrive dans la chambre de l’habitant en passant verticalement à travers le lit pour aboutir dans une pièce à l’étage du dessous. Non seulement le sommeil de l’habitant est très perturbé mais il n’a jamais pu, dans cette fameuses pièce, pu rester très longtemps tellement l’énergie présente y est négative. Nous ne pouvons d’ailleurs intervenir de suite, Nathalie ressent un coup à l’épaule pour bien nous montrer que nous ne sommes pas les bienvenus. Par la suite, nous retournerons dans cette pièce et comprendrons que le gardien de ce passage n’est autre qu’un pendu lui-même possédé par une entité particulièrement « noire ». C’est la colère de cette entité que nous avions ressentie préalablement. Inutile de dire que le rituel de libération fut difficile…

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 17:04

 

Fenetre maisonBonjour à tous.

 

Afin d’expliquer un peu plus notre travail, nous avons choisi un exemple « parlant » d’une de nos interventions. Les difficultés rencontrées et ce que nous y avons trouvé sont typiques de ce qui peut se passer lorsque l’on achète ou loue un nouveau lieu de vie. De même que nous héritons des problématiques et du poids souvent très lourd de notre transgénérationnel (ce que nos aïeux n’ont pas résolu), nous récupérons lors d’un emménagement de toutes les énergies bénéfiques ou néfastes laissées par les habitants précédents et en résonnance avec notre propre histoire. Dans ce cas précis, Bernadette est tombée « amoureuse » d’un ensemble de bâtiments à rénover. Toutefois, la nouvelle propriétaire connaît depuis un an, une longue succession de désillusions et de complications sur son chantier. Comme nous pourrons le vérifier, tout le lieu est « malheureusement » lourdement chargé. Malheureusement ? Selon la loi universelle d’attraction, nous sommes attirés par ce qui vibre à la même fréquence que nous ou/et ce qui contribue à nous faire progresser dans notre vie. Bernadette aura finalement un rôle bien plus important que de rénover esthétiquement cet endroit et recevra en retour un sentiment de bien-être ainsi qu’un travail de réparation pour elle et ses aïeux.

 

L’ensemble de la propriété se compose de trois principaux bâtiments : une grange, l’écurie où les biens de Bernadette sont actuellement entreposés et qui sert aussi de lieu de vie et la maison principale. Celle-ci n’a plus de toit et les murs sans fenêtres pourraient plutôt faire penser à une maison abandonnée. Elle est tout sauf abandonnée par Bernadette et pourtant…

 

Depuis un an, ce sont déboires sur déboires qui s’accumulent entraînant retards et dépenses supplémentaires. Certes, c’est souvent le passage obligé de tout nouveau propriétaire mais sans s’étendre sur la longue suite d’évènements (dépôt de bilan de l’artisan principal, moitié du toit pas livrée…), il y a un moment où l’on peut sérieusement se poser des questions, même si l’on est cartésien comme Bernadette.

 

Après un premier aperçu et les premières mesures, nous détectons trois phénomènes principaux perturbant le lieu :

Problème tellurique

Problème d’entités

Problème de mémoire des murs

 

Nous sommes tout d’abord guidés par les baguettes (roadmasters) devant l’entrée de la maison dans laquelle, nous ne pouvons pas entrer, pour l’instant, sur un plan énergétique. Nous décelons un courant d’eau souterrain, traversant la maison et un peu loin, l’écurie. De plus, un croisement de réseau tellurique Hartmann de niveau 3 négatif se trouve à cet endroit, avec, sur ce croisement, la présence d’une cheminée cosmo-tellurique « habitée » par des âmes humaines. Autant dire, que comme comité d’accueil pour entrer dans la maison, il y a mieux…  En fait, tout est lié car le croisement négatif a sans doute attiré la cheminée qui elle-même a attiré les âmes. Ce qui est certain, c’est que rester stationnaire pour discuter sur le perron était particulièrement pathogène et dangereux pour son propre équilibre énergétique. N’oublions pas non plus, qu’il s’agit ici de l’accueil de la maison tant réel que symbolique. Grâce à nos protocoles, nous ré-harmonisons l’entrée de la maison. Bernadette, à sa grande surprise et malgré son côté « cartésien » ressent un changement dans l’atmosphère environnant. Nous éprouvons le besoin de consolider notre travail par l’installation d’une pierre. Le visage de Bernadette s’éclaire alors car elle a exactement ce qu’il faut. En effet, un artisan a soigneusement mis de côté une dalle trouvée sur le chantier. Mieux, Bernadette comptait justement la mettre devant l’entrée… comme par hasard…

 

Nous n’avons toujours pas l’autorisation d’entrer dans la maison, et les réponses que nous obtenons sont contradictoires. Nathalie a alors la sensation que l’Esprit du Lieu (l’âme de la maison en quelque sorte) est pollué. Les baguettes nous conduisent devant une table ancienne située à l’écurie. Cette table ayant appartenu à un lointain aïeul est mêlée à une période très sombre pendant l’absence de celui-ci  et qui s’est terminée en pillage, accompagné de colère etc… Nous ressentons la présence d’une entité emplie de colère, de violence et même d’énergie sexuelle malveillante.  La transmutation de cette entité libère d’un coup l’esprit du lieu emprisonné. Bernadette est très émue car elle a ressenti une libération au niveau de la table. De plus, l’écurie étant chargée de meubles anciens qui lui appartiennent, elle sent qu’elle doit faire le lien entre les meubles anciens du passé qui la retiennent, et le futur qui l’attend dans cette maison. Elle prend conscience alors que ce lien, c’est elle au présent avec sa propre histoire tout en quittant l’histoire familiale.

 

Nous continuons par la purification par l’encens d’une statuette « habitée » pouvant être liée avec certains gros problèmes familiaux.

 

Ceci fait, même si nous nous retrouvons à l’extérieur, l’ambiance semble naturellement plus légère. Les baguettes nous amènent ensuite à la cave de la maison d’habitation qui, comme beaucoup de lieux fermés et « tranquilles » abrite quantité d’énergies négatives : entités et âmes humaines. Nous transmutons les entités et aidons les âmes humaines à gagner la Lumière.

 

Nous finissons par retourner dans l’écurie, lieu d’habitation temporaire de Bernadette. Nous y faisons une méditation autour de la table qui se révèle très puissante. Bernadette a même eu des images très fortes du « gardien du lieu ». Tout d’abord recroquevillé, elle l’a vu se relever en recevant cette réponse « amener la vie » à notre question : « que doit faire Bernadette pour lui ? ».

 

Cette harmonisation fut très belle tant par le lieu qui recelait maintes découvertes que par la participation de Bernadette qui fut particulièrement surprise de sa participation active (elle pensait, en bonne cartésienne, rester en retrait de notre travail…) et tout le ressenti qu’elle a pu éprouver tout au long de cette harmonisation.

 

Pour info, Bernadette nous a confirmé depuis peu que le lendemain de notre visite (un dimanche pourtant), le maçon responsable du chantier, avait repris contact avec elle pour la suite des travaux après plusieurs semaines de silence total…

 

Jean

 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 13:08

Amandier.jpgDans un article précédent, je donnais des exemples de pollutions énergétiques que nous rencontrons quotidiennement. Voici un exemple intéressant mêlant les mémoires du passé, énergie négative de colère et formes pensées. Nous verrons dans ce cas que l’origine vient autant de l’extérieur que nous laissons entrer que de nous-mêmes.

 

Caroline habite seule et se sent très mal chez elle depuis une prise de conscience importante lors d’un stage effectué quelques mois plus tôt. Ses pleurs ont commencé le dernier jour, lors de la séparation du groupe et n’ont pas cessé même rentrée chez elle. Par ailleurs, elle a vécu la séparation des membres du groupe comme une nouvelle rupture. Cette prise de conscience a alors déclenché chez elle un long travail de réparation.

           

            La naissance de Caroline fut difficile, née prématurée à huit mois et frôla la mort par une succession de circonstances et d’erreurs dramatiques. Elle devint « adulte trop jeune » évoluant dans une famille où règnent tristesse, dépendance à l’alcool et de nombreux cas de suicides. Elle travaille dans une administration, à temps partiel pour des raisons médicales. Emploi à contre courant car elle a une grande sensibilité et une capacité particulière à ressentir les choses.

 

Caroline nous a fait venir car elle ne peut plus vivre dans cette maison dont elle ressent (ainsi que certains de ses amis sensibles) l’ambiance très malsaine. Elle pense qu’il y a peut-être un sort de magie jeté sur le lieu et pour l’instant, refuse d’y dormir.

 

Je passerai rapidement sur le détail de l’expertise (voir notre site pour cela : http://energie-et-geobiologie.fr/expertise-geobiologie-maison-3-Caroline.htm). Ce qui est intéressant dans ce cas, c’est qu’au départ, l’habitante imagine qu’une intervention extérieure (sort de magie) est la cause de son mal-être alors que c’est bien plus personnel. Le taux vibratoire de la maison est très bas car nous y retrouvons mêlées, dévaluation de soi par manque d’amour, rancune et colère d’un ex compagnon ayant vécu dans la maison, peur de l’abandon et même une âme humaine « de passage » si j’ose dire (cimetière à côté). Cette fréquence basse entretient et/ou attire des formes pensées, une mémoire des murs chargée (rancune de l’ex compagnon). En retour, toutes ces énergies négatives maintiennent une « chape de plomb » sur la maison et en attirent de nouvelles, c’est le cercle vicieux habituel. Notre pensée est créatrice et peut subir en plus l’influence du lieu si nous n’y prenons garde. C’est heureusement vrai aussi pour les lieux sacrés. Dans un réflexe de survie et à l’écoute de son ressenti, Caroline ne peut plus vivre dans cette atmosphère nocive pour un être vivant. D’autant qu’au-delà des formes énergétiques, cette basse fréquence n’attire bien entendu que des personnes qui sont en résonance avec celle-ci, c'est-à-dire dans son cas, des compagnons en rupture sociale.

 

La solution passe par une véritable volonté de réparer ce qui n’est plus en harmonie avec le vivant. Là aussi, c’est un tout et un travail de tout instant. Caroline a une énorme valeur qu’elle commence à percevoir au fil de notre discussion. Elle ne doit plus chercher le regard des autres pour exister au point de vouloir les soulager même lorsque cela n’est pas nécessaire et qui plus est, à son détriment. Il ne s’agit pas pour Caroline de renier son passé ou ses difficultés mais d’accepter simplement et de reconnaître sa juste valeur. Après cette prise de conscience, nous pouvons concrétiser l’harmonisation par la transmutation de toutes les énergies négatives et formes pensées du lieu. Ce travail effectué, l’air est tout à coup plus sain ! Toutefois, il n’y a pas de solution miracle. Nous pouvons plus ou moins facilement éliminer le négatif (pour le vivant) d’un lieu mais cela ne dépend pas de nous qu’il ne revienne pas.

 

Caroline dans son cas, doit aussi couper court à toute forme de pensée négative qui la ramènerait vers un taux vibratoire trop bas. Tout d’abord, l’harmonisation de la maison et sa prise de conscience vont lui permettre d’évoluer de nouveau dans une ambiance plus saine et de commencer à reconnaître sa propre valeur. Ensuite, comme certains aliments peuvent être néfaste pour notre santé, « avaler » ou accepter certaines idées comme vérités le sont tout autant pour notre moral et par la-même notre équilibre. Lorsque nous comprenons que dire simplement du mal d’autrui, prêter attention aux commérages, mal choisir nos sources d’information, se laisser envahir par des personnes  négatives (dans tous les sens du terme), ne pas se respecter (ou les autres) etc… nous maintient dans une vibration trop basse pour être saine, nous avons déjà fait un grand pas. C’est d’autant plus difficile que personne ne nous apprend cela, bien au contraire. En même temps que nous nous écartons de tout ce qui peut réduire notre fréquence, il est important de se rapprocher de tout ce qui peut l’élever.  Cela peut sembler un pléonasme de dire de vivre sainement et pourtant… Même si certains d’entre nous « vivent » derrière les ordinateurs, une promenade dans la nature ou un parc, jardiner sont des moments qui nous enracinent à la Terre Mère. Côtoyer des personnes tournées vers la Vie, nous écouter, nous respecter, aider à chaque fois que possible, sont des actes simples mais nécessaires pour notre évolution. La méditation et les prières (voir articles précédents) sont extrêmement puissantes et ne coûtent rien. Prier un Dieu, la Source de Vie, l’Univers, peu importe, à chacun notre foi et notre vérité, ce qui compte, c’est la ferveur que nous mettons dans cette action. C’est la première étape dans le maintien de sa propre énergie.

 

De plus en plus, nous côtoyons des personnes déprimées, stressées, épuisées. Certains nous présentent cette époque comme apocalyptique mais nous savons tous que l’heure n’est pas à la fin mais au début justement. Cette nouvelle ère s’annonce avec plus ou moins de fracas pour certains d’entre nous mais nous avons tous en commun qu’il faut maintenant faire le ménage comme Caroline. N’oublions pas que les tracas, les perturbations énergétiques que nous rencontrons sont au fond de nous ou du moins ont obligatoirement quelque chose à nous faire comprendre. Le monde est là pour nous faire avancer. N’accusons plus les autres de nos maux, plongeons dans le miroir, accrochons notre regard et regardons-nous tels que nous sommes. Cessons de nous diminuer, acceptons de nous voir tels quels, c'est-à-dire, grands et lumineux. Tiens ce soir, faisons une expérience. Plantons-nous devant notre miroir préféré (attention aux lumières de la salle de bain, qui nous font souvent prendre dix ans de plus…). Regardons nous dans les yeux, prenons une, voire deux minutes pour nous examiner. Pas pour découvrir la nouvelle ride ou un énième cheveu blanc mais pour tenter de voir la lumière qui brille au fond de nos pupilles. Sourions-nous (faisons le en cachette si nous avons honte mais faisons le). Oublions que peut-être nous ne nous aimons pas. Revoyons l’image de nous enfant, comme sur une photo. Imaginons que nous ne connaissons pas cet enfant mais si celui-ci semble triste alors, embrassons-le longuement, tendrement pour lui apporter paix et joie. Et s’il est gai, alors embrassons-le longuement, tendrement pour partager sa paix et sa joie. Nous ne pouvons qu’avoir de l’amour et de la compassion pour un enfant. Et puis nous avons sans doute tous au fond de nous un moment, une blague que nous avons faite ou un moment de pur bonheur et qui nous font encore sourire aujourd’hui. Partageons ce sourire ou ces rires avec la personne du miroir, celle qui est capable de faire des blagues, celle qui est capable d’aimer la vie, partageons sa complicité. Nous avons tous fait quelque chose un jour dont nous avons été fier. Là encore, revivons cet instant de grâce, retrouvons l’éclat lumineux des yeux de l’Autre dans la transparence du miroir. Apprécions cet instant, rien que pour nous. Repoussons le cas échéant toutes les pensées de notre égo qui vient nous dire « non mais, tu t’es regardé ? Tu parles à ton miroir maintenant ? » Sourions simplement, sourions à notre égo, à nous-mêmes. Prenons le temps qu’il faut pour que ce sourire sorte du cœur et non du mental. Lorsque je disais plus haut qu’il faut se voir tel que nous sommes, c’est maintenant. Cet enfant qui mérite et qui a besoin d’amour, cette personne capable de faire des blagues, de rire, d’accepter le bonheur et d’aimer la vie, cette personne capable de réaliser des actes dont elle peut être fière, c’est nous, c’est Vous. Et maintenant que nous commençons à voir l’Etre véritable qui est en nous, Celui qui mérite, qui est habité par la Vie et par le Divin, acceptons que cette image divine soit la nôtre. Regardons-nous avec amour, avec compassion.

 

Ne croyons pas que ce « petit » exercice soit aisé. Je sais par expérience qu’il est souvent difficile de se trouver beau (je parle plus de la beauté que l’on émane que celle liée au physique) et de se croire digne de mériter l’amour des autres. Alors au départ, oublions que c’est notre propre reflet qui est dans ce miroir. Parce que le vrai reflet, la vraie personne divine, celle que nous sommes réellement, c’est celle qui apparaîtra à la fin lorsque nous aurons fait tomber tous les masques que nous avons gentiment accepté de porter.

 

Jean                                                                                                         

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 07:09

Abbaye-Valmagne.jpgLorsque nous abordons la mémoire des murs au hasard de nos rencontres, systématiquement, nos interlocuteurs savent de quoi nous parlons. Et chacun d’y aller de son histoire, pas forcément impressionnante mais toujours suffisamment marquante pour graver les esprits, même des plus cartésiens. Pourquoi ? Parce que cette mémoire fait partie intégrante de la vie et de nos lieux.

 

Je suis d’ailleurs certain que nous avons tous au moins une fois dans notre vie connu un endroit, une maison, un bâtiment, qui nous donnait des frissons ou du moins qui nous mettait mal à l’aise ou à l’inverse, où nous nous sentions en paix, en harmonie, bien au-delà de l’habituel. Nous connaissons cette sensation. Il y a fort à penser que nous étions en liaison directe avec la mémoire du lieu.

 

Même sans statue érigée à notre effigie, même sans notre nom dans les livres d’histoire, nous laissons des traces énergétiques de notre passage. Les premières sont dans notre lignée génétique. De la même manière que nous avons hérité des problématiques non réglées de nos ancêtres, nos descendants récupéreront sans doute les nôtres. Les autres traces sont inscrites dans notre environnement quotidien. Toujours le même principe, nos (fortes) pensées, nos émotions, nos formes pensées une fois émises laissent leur empreinte sur les murs ou plus globalement, à l’endroit où elles sont émises. Ainsi nul besoin d’être sur un lieu de crime ou de massacre pour avoir une désagréable sensation (à ce sujet, ce n’est pas la sensation qui est dangereuse mais bien ce qui la cause). Il suffit comme nous le mentionnons dans l’exemple donné sur notre site d’être en contact avec des mémoires d’émotions fortes http://energie-et-geobiologie.fr/expertise-geobiologie-maison-2-aline.htm . Dans le cas cité, la personne « hébergeait » dans sa salle de bain ainsi que dans sa propre chambre, des émotions de colère liées à un divorce difficile et dans une autre chambre, anciennement celle de l’enfant, une émotion d’infinie tristesse. Ces énergies, se nourrissaient de la mémoire des murs tout en l’entretenant elles aussi à leur tour. La propriétaire nous avait expliqué que son divorce appartenait maintenant au passé et que tout avait été « digéré ». La présence de cette mémoire et l’énergie de colère révélaient en fait le contraire. Cette personne subissait leur influence négative mais l’entretenait elle aussi par sa propre colère refoulée. Comment pouvait-elle se sentir bien et surtout s’épanouir dans un tel contexte ? D’ailleurs sa principale motivation pour nous faire venir avait été que sa salle de bain était en chantier depuis un an (les travaux s’éternisaient, le bac de douche arrivait cassé etc) et que plus généralement, plus aucun ami ne venait la voir depuis qu’elle habitait ici… Après l’harmonisation et aux dernières nouvelles, amis et famille ont renoué avec elle et la maison est de nouveau accueillante. Je rappelle au passage que l’efficacité de la réharmonisation passe par le « nettoyage » énergétique du lieu, la prise de conscience et la reconnaissance de l’origine du déséquilibre par l’habitant.

 

Ces mémoires « familiales ou sociales » dirons-nous sont omni présentes dans tous les lieux qui ont déjà « vécu ». Les maisons neuves ne sont pas pour autant épargnées. En effet, en dehors de toute histoire tragique liée au terrain et avant même la remise des clés au futur propriétaire, la maison se charge en bonne ou mauvaise énergie. Comment ? Par les bâtisseurs eux-mêmes. Les objets, les constructions, les œuvres en général se chargent de l’émotion, de l’intention du créateur. Imaginons un maçon qui viendrait de vivre une très grosse contrariété, une dispute avec son employeur, son épouse, un collègue. Je doute fort qu’il construise son mur en sifflotant des chansons d’amour. Ses gestes seront plutôt tout empreints de colère et dès le commencement de son labeur, chaque parpaing ou brique recevra une charge de violence plus ou moins contenue. Souvenons-nous de notre dernière colère. Lorsqu’elle n’était pas encore apaisée, nous avons pu en vouloir à l’évènement ou la personne (voire la terre entière) qui en était la cause. Cela s’était certainement traduit par des pensées agressives envers son origine, accompagnées de gestes « énergiques », voire violents même si c’était dans le vide. Le maçon qui pose son parpaing avec colère inflige à celui-ci une sorte de rituel magique involontaire. Imaginons maintenant que toute la maison soit construite ainsi, il faudra beaucoup d’amour et d’harmonie aux futurs propriétaires pour inverser la tendance. A l’inverse, un lieu d’habitation construit avec patience et amour, par des personnes qui aiment ce qu’ils font ou tout simplement par le futur habitant recevra d’emblée une énergie d’accueil de paix et d’amour. Mais attention, les énergies bougent et nos humeurs changent, il faut donc rester vigilant car rien n’est jamais acquis.

 

Avant même de travailler en énergétique, j’ai souvent entendu parler de maisons « à divorce », de pertes d’emplois ou de problèmes financiers, de maladies récurrentes pour les habitants successifs. Les mêmes situations, les mêmes drames semblent s’y répéter sans cesse. Pas plus tard qu’à notre dernière conférence, une personne dans la salle nous expliquait qu’elle habitait avec son mari une maison où deux personnes successives avaient souffert de la maladie d’Alzheimer. Après plusieurs mois, son époux a lui aussi déclaré une maladie similaire. Il est évident que ce n’est pas la maison qui en est la cause, il n’y a pas eu de « contamination ». Malgré tout, la mémoire du lieu entretient la maladie en maintenant l’homme à un taux vibratoire bas correspondant à cette pathologie. En outre, depuis qu’elle connait l’histoire des habitants antérieurs, son épouse est maintenant persuadée qu’ils sont sous l’emprise de la fatalité, renforçant ainsi des formes pensée de maladie. La boucle est bouclée… Comme dans le cas de la personne divorcée qui a choisi inconsciemment d’habiter la maison d’un couple divorcé, ces deux dernières personnes ont choisi un lieu en résonance avec la maladie latente du mari. Ainsi la mémoire des murs peut nous révéler le passé énergétique du lieu et agir directement sur nous en faisant surgir nos propres problématiques. Plutôt que pour notre malheur, elle est là aussi pour montrer du doigt ce que souvent, nous refusons de voir. Par exemple Aline, la personne divorcée n’avait pas terminé son divorce. De même et selon la symbolique d’une maladie qui touche la mémoire (justement), nous pourrions (mais chaque cas est unique, attention aux conclusions hâtives) nous demander ce que l’homme veut oublier ou ne plus voir dans sa vie.     

 

Les lieux historiques sont d’autres cas couramment rencontrés. Je me souviens d’une amie particulièrement sensible, guide touristique, qui lorsqu’elle devait accompagner des touristes à Ouradour sur Glanes* ressentait un malaise de plus en plus profond au fur et à mesure que l’autocar s’en approchait. Elle recevait à distance toute l’énergie du lieu, encore chargé de violence et de souffrance. Je ne parlerai même pas de la mémoire énergétique des camps d’extermination. En dehors même de toutes les âmes errantes qui s’y trouvent certainement encore, je pense que, face à l’énergie dramatiquement puissante du lieu, même le plus insensible doit avoir la gorge serrée. Ces deux derniers exemples sont des cas extrêmes et bien sûr, il ne viendrait jamais à l’idée d’aucun promoteur de construire des résidences à de tels endroits (quoique…). Un ami géobiologue belge m’a parlé d’une école construite sur une petite partie du champ de bataille de Waterloo. Nous pouvons imaginer assez facilement le genre d’énergie qui peut remonter de la terre à cet endroit (comme de tous les champs de bataille d’ailleurs). Mais d’autres lieux moins présents dans la mémoire collective peuvent recevoir au fil du temps des constructions, par obligation suite aux destructions de guerre ou tout simplement parce que les faits remontent à trop longtemps. Cela ne change rien. Une amie medium et géobiologue m’a expliqué qu’il y a quelques années, elle habitait un immeuble récent en plein centre d’une grande ville. Elle y était constamment dérangée par des visions d’âmes humaines qui traversaient les pièces, même son chien suivait parfois du regard des déplacements d’êtres invisibles et aboyait furieusement. L’énergie était en outre très basse et négative pour le vivant. Après recherche, elle s’est rendue compte que le bâtiment avait été construit dans un lieu où l’on enfermait les fous à l’époque moyenâgeuse. Ils y finissaient leur vie dans une sorte de mouroir. Inutile de faire un dessin sur les déséquilibres énergétiques qu’un tel passé peut engendrer et entretenir sur les résidents… Elle est bien entendu intervenue pour rétablir l’équilibre de l’ensemble. Il ne faut donc pas se fier à l’apparence neuve d’un bâtiment pour se croire à l’abri d’une influence énergétique. Tous les lieux ont une mémoire mais heureusement, ce n’est pas toujours aussi dramatique.

 

Nous redécouvrons peu à peu ce que nos ancêtres pratiquaient quotidiennement depuis les temps immémoriaux. Ils vivaient en pleine harmonie avec les lois de la nature. Ils connaissaient la puissance des phénomènes énergétiques et les risques d’en faire fi. Pendant longtemps, cette connaissance savoir fut oubliée par le commun des mortels au profit d’un savoir de plus en plus cartésien et technologique. Actuellement, nous sommes de plus en plus nombreux à ouvrir les yeux, à accepter de ressentir pour être plus précis. Et le plus facile sans doute à ressentir, c’est encore la mémoire, l’ambiance d’un lieu. Soyons à l’écoute de ce qu’il veut nous dire, et ne nous présentons pas en victime si cela nous déplait, n’oublions pas la loi de l’attraction. En même temps qu’une prise de conscience pour l’habitant, nous devons aider avec le rituel approprié, les prières et l’amour, le lieu à transmuter et à remonter son taux vibratoire si besoin. Ainsi chaque lieu, chaque parcelle lavés de leurs tragédies familiales ou historiques permettent plus globalement à la Terre d’élever sa propre vibration et tous les êtres vivants d’en bénéficier instantanément.

 

* Village du Limousin où furent massacrés officiellement 642 villageois par une panzerdivision allemande SS le 10 juin 44.

 

Jean  

                                                                                 

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 12:08

Ciel-copie-1.jpgVoilà la suite de notre étude succincte concernant les pollutions invisibles dont nous pouvons souffrir quotidiennement. Après les âmes humaines et les entités, nous abordons maintenant le sujet des formes-pensée.

 

Pour schématiser, lorsque nous émettons une pensée, celle-ci se transforme en petit nuage au-dessus de nous, à l’image des bulles des bandes dessinées. Une fois créée par notre esprit, elle peut soit rester au-dessus de nous et nous maintenir dans l’énergie (souvent négative) qui lui a donné naissance, soit parcourir l’univers au gré des pensées voisines. Elle peut ainsi « vagabonder », survoler les lieux en quelque sorte, s’introduire dans nos maisons, nos bureaux attirée par une autre forme pensée de même vibration ou une personne présentant une façon de penser identique. Par exemple, une forme pensée de colère ou de jalousie rejoindra plutôt les rangs de ce type d’émotions qu’une pure pensée d’amour. Cela explique comment une forte colère peut facilement se propager parmi les membres d’un groupe qui émettront à leur tour cette énergie négative. Celle-ci encore plus forte, attirera à elle toutes les autres à proximité, et ainsi de suite. C’est aussi vrai pour l’amour, heureusement ! Nous pouvons donc assister à un mouvement de foule qui réclame la mort d’un bouc émissaire qui cristalliserait toutes les formes pensée de haine ou de colère environnantes. Nous sommes alors à « l’échelon » supérieur, celui de l’égrégore, une « masse » importante de formes pensée. Cet égrégore peut aussi naître de l’esprit collectif de tout un peuple ou des nombreux pratiquants d’une religion, par exemple. Nous avons d’ailleurs souvent pu observer à travers les âges, le résultat de ce phénomène lorsqu’une foule de milliers de personnes scande le même cri dans une pensée unique. Heureusement les formes pensées positives existent aussi, comme les prières, l’amour de l’autre, le désir d’aider etc. A ce sujet, l’union des formes pensées de paix et d’amour de milliers de personne a pu changer et améliorer récemment, suite à l’appel de Masaru Emoto, la structure de l’eau à proximité de la centrale de Fukushima. N’est-il pas reconnu aujourd’hui par les plus éclairés que les conflits à l’échelon mondial trouvent leur source énergétique dans la réunion des millions de « petits » conflits personnels qui sont en nous ? Une image me vient subitement. Celle des ruisseaux qui font les grandes rivières. C’est exactement cela : « petite forme pensée deviendra grand égrégore ».

 

J’aime beaucoup cette histoire lue dans un livre qui raconte la rencontre d’un pèlerin et de l’énergie du choléra sous forme humaine. Ils commencent à parler et le choléra annonce qu’il emportera deux milles personnes de la ville voisine pendant l’hiver prochain. Au printemps, l’homme croise de nouveau le chemin du choléra. Aussitôt, il reproche à la maladie de lui avoir menti et d’avoir tué dix milles habitants et non deux milles. Alors, le choléra lui sourit malicieusement et lui explique qu’il n’est bien réellement responsable que de la mort de deux milles êtres. Les autres sont morts par la simple crainte de mourir… Cette fable me vient souvent à l’esprit lorsqu’il m’arrive un évènement tout en pensant « je le pressentais » ou « cela ne m’étonne pas ». Je ne peux m’empêcher de me poser cette question : « est-ce dû à de la prémonition ou à mes craintes qu’il se réalise » ?

 

En effet, au-delà du regroupement des formes pensées vu plus haut, il y a l’impact de la pensée elle-même. « Nous créons ce que nous pensons et nous sommes ce que nous pensons ».  Si nous prenons conscience et acceptons cette loi, il devient dès lors inimaginable de penser « à mal », de critiquer (les autres ou nous-mêmes) etc. Et pourtant, il m’est aussi parfois difficile de rester insensible à certaines situations, de ne penser que du bien de mes contemporains ou de moi-même. N’oublions pas : la pensée est créatrice. Quand nous pensons du mal de quelqu’un, ne serait-ce qu’une simple remarque, nous émettons une pensée qui risque fort de se cristalliser par une action ou un fait qui prendra tôt ou tard consistance dans la réalité. Je ne veux pas être moraliste, ce n’est pas mon rôle, je souhaite juste attirer notre attention à tous sur notre part de responsabilité dans les évènements, qu’ils nous touchent de près ou à l’autre bout de la Terre. Lorsqu’une personne en colère réussit à « contaminer » ses proches professionnels ou privés et à créer une ambiance désastreuse, c’est aussi parce qu’ils sont réceptifs à ce type d’émotion à cet instant « T » et ne sont en aucun cas, victimes. Si nous acceptons de recevoir la colère d’autrui, de ressentir de la jalousie ou au contraire de la compassion ou de l’amour, c’est parce ces pensées trouvent en nous un terrain fertile pour se développer. Accepter de regarder cette loi en face, c’est tendre une main vers l’amour de Soi et de l’Autre.

 

 « Je pense donc je suis » disait Descartes, alors essayons d’être créateur de formes pensées positives et d’amour, plutôt que de colère, de jalousie, de rancune etc… Je sais, ce n’est pas l’enseignement que nous recevons aujourd’hui des médias et autres beaux parleurs, des téléfilms ou des jeux télévisés dignes du célèbre « du pain et des jeux » de Rome. Seulement, nous savons tous aussi comment l’empire romain a terminé. Un prochain article tentera d’apporter des solutions pratiques à cette pollution largement répandue. En attendant, c’est par notre prise de conscience quotidienne de l’importance de nos pensées que passe notre bien être personnel et celui des autres, voire l’avenir de l’humanité…

 

Jean

                                                                                             

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1 juin 2011 3 01 /06 /juin /2011 12:17

Chateau.jpgNous abordons aujourd’hui les « pollutions énergétiques ». Vaste sujet qui nécessiterait quelques volumes plutôt qu’un simple texte. En géobiologie, nous traitons toutes sortes de pollutions, celles du « siècle » bien entendu, les ondes électromagnétiques mais bien d’autres encore, plus insidieuses qui touchent les couches subtiles de notre corps. Sans ordre de préférence, nous pouvons citer les entités, les âmes humaines, les formes pensées, les égrégores, et d’une manière plus environnementale la mémoire des murs, la magie etc… Comme entrée en matière, nous allons traiter les âmes et les entités. Les formes pensées et la mémoire des murs feront l’objet d’un article ultérieur.

 

Les choses bougent, les évènements se précipitent à tout point de vue, il suffit pour s’en convaincre de suivre l’actualité mondiale. Le taux vibratoire de la Terre qui augmente n’est pas étranger à ces faits. Une prise conscience se fait jour peu à peu chez de nombreuses personnes. Si nous ouvrons les yeux lorsque nous sommes prêts à voir, cela se passe rarement sans difficulté. Parallèlement, des évènements plus ou moins faciles à vivre et accepter peuvent nous fragiliser tant sur les plans physique que psychologique et forcément puisque tout est lié, énergétique. Et c’est là, où cela se gâte. En effet, les âmes ou les entités citées plus haut, vont profiter de notre faiblesse temporaire pour s’accrocher à nous et finalement nous fatiguer encore un peu plus. De plus, les énergies qui remontent de la Terre ne sont pas toutes positives, favorisant ainsi de gros déséquilibres dans les lieux, voire la résurgence d’anciennes magies.

 

Avant de découvrir plus en détail les différents types de pollutions, il est important de préciser certaines choses. Lorsque nous intervenons parce telle personne ressent un mal-être, un déséquilibre qu’elle juge anormal ou parce qu’elle est face à une situation qui semble bloquée, tout ce que nous trouvons est toujours en lien avec elle. Un lieu « plombé » par une mémoire tragique, une entité qui nous « pourrit » la vie au point de favoriser le développement d’une maladie latente, ne sont là que parce qu’au préalable, il existe une faille dans nos défenses naturelles. Il n’y a pas de hasard, de malchance etc.  Nous attirons les évènements que nous vivons, nous sommes guidés vers les lieux qui sont en résonance avec nous à un instant « T » de notre vie. Accepter de comprendre plutôt que de subir est la seule solution pour nous en sortir à long terme. Ce n’est pas une aubaine d’avoir une entité sur soi mais cela peut être l’occasion de faire un grand pas de conscience dans sa vie.

 

Inutile de préciser que tous les cas cités ont été rencontrés lors de différentes harmonies.

Honneur aux âmes humaines. Comme leur nom l’indique, ce sont des âmes d’humains qui pour une raison quelconque n’ont pu monter dans la lumière après le décès. Cela peut sembler étrange mais l’âme ignore parfois qu’elle n’a plus de corps charnel, suite à un brusque accident par exemple, qu’elle ne s’est pas « vue » mourir. La crainte de l’après vie, le jugement Divin possible, le fait d’être attachée à un lieu, une personne vivante qu’elle ne veut pas quitter, une mission à accomplir, un message à donner, ou tout simplement l’envie de continuer à goûter les plaisirs de la vie… peuvent faire qu’une âme normalement destinée à évoluer va rester parmi le monde des vivants. Encore tout récemment au cours d’un repas, une des personnes présentes nous faisait part d’une désagréable expérience. Du jour où elle habita avec son époux une certaine maison, rien n’alla plus dans leur vie. Les catastrophes en tout genre se succédèrent jusqu’à leur départ définitif. Elle apprit par la suite que ce phénomène était récurent pour tous les locataires successifs depuis la mort par pendaison d’un homme dans une des pièces de la demeure. Inutile de préciser que l’âme de cet être n’avait nullement transmuté et restait encore présente dans les murs au détriment certain des vivants.

 

Dans tous les cas, ces présences influenceront notre comportement, nos pensées et notre santé. Sans vouloir tomber dans la peur systématique ou obsessionnelle, tous les lieux où nous nous rendons mais principalement ceux historiquement « chargés » par des évènements dramatiques ou guerriers, les cimetières, les hôpitaux, le métro, les supermarchés… sont autant de lieux habités par de nombreuses âmes errantes. Il suffit que l’une d’entre elles soit en résonance avec notre propre énergie si elle est basse à ce moment, pour qu’elle « reparte avec nous » et nous habite. Je parlais de plaisirs un peu plus haut, certaines âmes vont s’accrocher aux humains connaissant les mêmes envies, les mêmes passions ou les mêmes déviances. De la même manière, même à petite dose, la consommation d’alcool, drogue, cigarettes provoque des failles éthériques qui favorise la venue de ces énergies, comme les autres entités d’ailleurs. Ainsi, l’âme errante retrouve les effluves de l’alcool, de la drogue ou de la fumée à travers l’humain et reste avec lui pour essayer d’en ressentir les effets. Le pire des cas est lorsque l’âme intruse amène son hôte à changer radicalement sa façon de vivre, son comportement jusqu’à le rendre lui aussi sujet aux mêmes addictions parfois jusqu’à l’autodestruction. C’est le cas extrême mais très bien expliqué dans le livre de la psychanalyste Edith Fiore dans son livre : « Les esprits possessifs ». Plus fréquemment rencontrée lors de séances, l’âme d’un proche, souvent l’un des parents ou grands-parents, présente en tant que guide protecteur. Toutefois, la raison de leur présence est parfois plus ambiguë. Nous pouvons avoir l’impression au départ de la communication que l’ancêtre est là pour aider son descendant puis, au fur et à mesure que nous avançons, nous nous rendons compte que c’est l’inverse. En effet, l’âme inflige au vivant une façon de penser archaïque s’appuyant sur des « lois humaines » et surtout filiales totalement dépassées et castratrices. Tel cet ancêtre lointain qui infligeait maladie et remords à une jeune femme parce que pour cette âme disparue depuis longtemps, « une femme doit se consacrer à son foyer et non travailler à l’extérieur ». La jeune femme sous cette emprise négative ressentait un fort sentiment de culpabilité vis-à-vis de son mari et ses enfants pour s’être absentée le temps d’une formation professionnelle. Il est à noter que nous avions en plus ici, un formidable exemple de transgénérationnel destructif (comme souvent) remontant à plusieurs générations. Bel héritage de l’inconscient familial… Dans un autre registre tout un groupe d’âmes de personnes disparues lors de la Shoah avait « trouvé refuge » en une autre personne. Elles lui imposaient depuis des années, un besoin viscéral d’être en sécurité physique et matérielle. Sécurité qu’elle n’avait pu psychologiquement trouver jusqu’alors, ne connaissant que le sentiment d’être en perpétuelle survie. Lorsque nous songeons aux conditions « d’existence » des camps d’internement où l’insécurité et la survie rimaient avec l’angoisse de mourir et la peur de manquer, nous saisissons mieux l’impact énergétique que généraient ces âmes en souffrance dans l’esprit du corps qu’elles habitaient.

 

Il est important de mettre à jour ces angoisses, ces manques, lorsqu’ils sont provoqués par des présences inopportunes. En effet, si tel est le cas, nous comprenons alors que ces peurs ne nous appartiennent pas. Un travail sur nous doit suivre bien sûr cette prise de conscience mais c’est souvent une des clés de la libération. N’oublions pas que ces âmes sont en souffrance et ne sont pas là pour nous faire du mal. Elles sont dans une autre dimension, notre réalité n’est pas la leur et vice et versa et nous rendons service à la terre entière en les aidant à transmuter et à elles en particulier.

 

Autre catégorie, les entités. Elles peuvent être du sous-sol, du bas astral, du mental… Là, c’est un autre registre. Selon leur type, ces entités seront plus ou moins dangereuses pour leur « hôte ». Mal de vivre, dépression, fatigue, aptitude à se mettre fréquemment en colère peuvent être provoqués par leur parasitage et c’est en même temps ce qui les nourrit. Elles se rencontrent sur la personne elle-même ou dans leur lieu de vie, d’où l’importance de travailler autant sur la personne que sur son habitat. Elles sont souvent issues d’un choc émotionnel ou de notre propre mental. Il nous arrive fréquemment de rencontrer de telles énergies qui datent de la petite enfance ou même avant, engendrées par un évènement vécu comme un drame, une mauvaise parole de la part d’un parent ou autre autorité, un sentiment d’injustice, un conflit non réglé… Tout ceci est soigneusement enfoui dans notre inconscient au plus profond de nous-mêmes. Et par une mystérieuse alchimie mais terriblement efficace, l’entité va se développer et nourrir à notre insu par exemple, notre malaise, notre manque de confiance en nous, notre impression de toujours nous faire avoir, notre éternelle colère, pourquoi pas, notre avarice… En fait, tout ce qui est déjà en nous mais qui se retrouve exacerbé par cette présence. Bien que cela se situe dans les corps subtils, lorsque nous transmutons de telles énergies, la personne se sent souvent (selon sa sensibilité) subitement allégée d’un grand poids, physiquement parlant.

 

Certains d’entre nous, sans avoir reçu de formation, ressentent « instinctivement » les âmes errantes ou les entités en entrant dans un lieu, en se sentant parfois observés ou en se trouvant différent de d’habitude. Toutes ces entités et âmes humaines sont de grandes consommatrices d’énergie humaine. Et plus nous serons fatigués avec un taux vibratoire bas, plus nous serons susceptibles de les attirer. A l’inverse, plus nous méditerons, plus nous nous connecterons au Divin, à la Lumière, plus nous aurons une vie saine et équilibrée, plus notre taux vibratoire s’élèvera*. Il ne faut pas non plus tomber dans la psychose et voir le « mal » partout. Comme je l’ai dit plus haut, nous attirons ce qui est en résonance avec nous. A nous d’élever notre conscience afin de n’attirer que ce qui est bon. Et puis dans l’autre cas, n’oublions pas que ce que nous rencontrons, est là aussi pour nous faire avancer lorsque nous en avons pris conscience.

 

 

*Voir les quatre articles précédents sur l’ancrage, la connexion au Divin, la méditation et le corps de Lumière.

 

Jean                                                                                                                                                                              

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 18:37

 interieur-maison-purification.jpgPURIFICATION D’UNE MAISON*

 

« Bonne année, bonne santé ! ». 1er janvier. C’est le jour des bonnes résolutions, des bons sentiments et pourquoi pas du premier nettoyage de l’année, purification devrais-je dire.

 

Au premier jour de l’année, les celtes de Bretagne purifiaient aux quatre coins leur demeure afin de clore l’année passée et repartir d’un bon pied avec de nouvelles énergies. Les amérindiens encore aujourd’hui pratiquent régulièrement la fumigation ou l’emploi d’encens locaux afin de purifier un endroit et de bénéficier d’une énergie propice à la vie. L’usage de l’encens remonte à la nuit des temps. Il permettait aux hommes médecine de communiquer avec le monde invisible et participait au moyen âge au traitement des grandes épidémies. Souvent apaisant, il crée une ambiance agréable là où ses volutes s’élèvent doucement vers le plafond. Il est encore régulièrement brûlé pour favoriser un état méditatif ou lors de cérémonies religieuses. On en trouve facilement sous deux formes principales, les bâtonnets ou « en grains » amalgamé à de la résine. Nous reviendrons par la suite sur des exemples d’utilisation. Pour l’heure, revenons à notre 1er janvier.

 

Et si nous commencions par un balayage… d’hiver ! En ce beau matin de janvier, nous décidons de renouer avec la tradition. En effet, ce jour là, les celtes utilisaient un grand balai formé par un manche en frêne et de brindilles en bouleau, arbre sacré pour éliminer les restes de l’année précédente. Pleins d’entrain mais aussi de respect, nous récupérons notre balai de sorcière (je plaisante) dont le manche n’est malheureusement pas du bon bois mais en bambou (promis, nous prendrons nos précautions pour l’année prochaine) et ouvrons la porte d’entrée. Le soleil rentre et déjà nous nous activons à balayer le sol, de l’intérieur vers l’extérieur ainsi que sur notre seuil. Nous remettons toutes les anciennes énergies à l’univers et demandons qu’elles transmutent dans la lumière.   

 

Pour l’étape suivante, nous préparons quelques brindilles de genévrier récoltées cet été et quelques feuilles de sauge issues de notre jardin. Nous utiliserons notre petit poêlon en terre cuite dans lequel nous faisons brûler chaque jour de l’encens lors de nos méditations. Il existe aussi dans le commerce des brûle encens spécifiques à cet usage. Au fond du récipient, du sable afin de limiter l’influence de la chaleur dégagée par la combustion. Un petit charbon rapidement incandescent (fourni par tout bon vendeur d’encens en grains) permettra d’entretenir la fumigation. Donc pour résumer, le poêlon (avec un manche pour le transporter plus facilement), du sable, un petit charbon (qui sera allumé avant d’être posé) dessus, des brindilles de genévriers et des petites feuilles de sauge. Ces deux plantes sont de puissants purificateurs. Avec l’allumette nous sommes en présence des quatre éléments afin de respecter le processus alchimique de la fumigation : l’allumette : le feu, le sable : l’eau (les coquillages très très anciens), les plantes et le poêlon en terre cuite : la terre et la fumée : l’air.

 

Après un moment de recueillement, nous invitons différentes énergies sacrées et notamment l’Energie Divine à nous aider dans notre travail de purification. Après avoir pris soin d’ouvrir dans chaque pièce, porte et fenêtres nous allumons notre charbon puis les plantes. Nous nous purifions des pieds à la tête en orientant la fumée vers nous à tour de rôle. Vous pouvez aussi à ce moment là réciter une prière qui vous est propre, celle-ci étant transportée par la fumée vers sa destination. Ensuite dans chaque pièce, nous offrons la fumigation aux quatre coins et à tout ce qui s’y trouve comme objet en demandant leur purification et plus particulièrement les vêtements, chaussures, livres… Le fait d’ouvrir une fenêtre (même s’il fait froid…) permet d’emporter au loin les effets nocifs. En effet, la fumée produite capture les ions positifs (mauvais pour la santé) et les évacue par la fenêtre ouverte. Pièce par pièce, nous visitons entièrement notre maison. A l’issue de cette cérémonie, nous remercions les énergies présentes et laissons la fumigation s’éteindre. Il règne dans toute la maison une douce odeur pigmentée de genévrier.

 

Nous aurons sans doute l’occasion de revenir sur les ions positifs et négatifs. Ce qu’il faut savoir en bref : les ions positifs sont contenus dans l’air des lieux mal ventilés ou pollués, ils sont bien entendus très mauvais pour la santé. Ils servent de véhicules aux énergies néfastes et leurs permettent de rester en suspension dans l’air. A l’inverse, les encens produisent des ions négatifs qui neutralisent les positifs et suppriment ainsi le transport des énergies nocives. Certains purificateurs d’air produisent ces ions négatifs et rétablissent un équilibre salvateur dans les lieux chargés. Encore plus efficaces comme générateurs d’ions négatifs mais plus difficile à ramener chez soi… : les éclairs des orages, les forêts de conifères, les montagnes de granit, les bords de mer etc. Voilà pourquoi après un orage ou dans ces lieux, on s’y sent si bien et l’on y respire, c’est le cas de le dire !

 

Dernière petite chose. Brûler de l’encens se rapporte à un rituel ancien et sacré. Ne jetez pas les cendres n’importe où. Conservez les tout au long de l’année et répandez les ensuite dans un endroit qui vous est cher avec tout le respect qui leur est du.

 

*Il est inutile de préciser que cette pratique de fumigation s’adresse à des adultes responsables, ne présentant aucun trouble respiratoire et ayant pris toutes les précautions qui s’imposent afin d’éviter tout accident.

 

Jean RENAULT

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