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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 10:42

le-precieuxCet article fait suite à celui du même nom (1 sur 3)  que vous trouverez ici : http://energie-et-geobiologie.over-blog.com/article-le-pompage-psychique-et-energetique-1-3-122495705.html

 

Et bien, pas de secret. Comme toute maladie ou épreuve, cela vient poser l’incohérence d’une partie de moi qui n’est pas en accord avec le reste, de manière subtile, inconsciente. Je dirais : « En quoi cet évènement remet ma vie en mouvement ? » Un travail sur le Soi en profondeur est requis. « Pas de tiédeur » (Les Dialogues avec l’Ange). Faire couper les liens karmiques* ou autres ne fonctionne qu’un temps, et la pathologie revient.


 La première étape est de prendre conscience du problème d’origine, et de plonger dans son ombre. Surtout ne pas avoir peur d’y plonger : prendre conscience de la « faiblesse », ou plutôt sensibilité, qui nous habite ne peut être que salvateur et libérateur. Autrement dit : transformer son défaut en qualité. De regarder en face qui, en premier dans notre enfance, a joué le rôle du « pompeur ». Après avoir compris ce mécanisme, il est important de réaliser qu’une part de nous-même a accepté de vivre cela. Je sais, ce n’est pas évident, notre ego a du mal à le concevoir… et pourtant, quand on est lucide et que l’on désire s’en sortir, c’est la seule solution.


Si Gollum avait pris conscience de sa soif cruelle d’amour, il aurait laissé tomber cet anneau et son maudit pouvoir… La blessure affective est telle que notre ego va chercher à tout prix à faire remonter l’estime de nous-même. Par l’assentiment des autres, parfois à n’importe quel prix, au détriment de nous-même et peut-être même sans respect de l’autre et de son point de vue, de ses croyances… Et la déflation de l’ego, par souffrance, va devenir inflation du moi, chère à C.G. Jung. Ou comment la victime devient bourreau…


 Notre âme, en s’incarnant, a accepté de jouer ce rôle de victime auprès des humains vivant ou décédés. Le processus est le même, l’un dans le visible, l’autre dans l’invisible. Il s’agit là de passer à autre chose, pour cela il est nécessaire de dépasser, de transmuter la souffrance, la colère en pure lumière. Là, nous parlons d’âme à âme. Si l’on reste dans le rôle de victime, rien ni personne ne viendra nous sauver, et nous tomberons toujours sur des bourreaux, ou alors nous nous transformerons en bourreau à notre tour et là, adieu l’harmonie et la relation équilibrée à l’autre quel qu’il soit. Seul le désir de s’en libérer doit nous animer, une fois que nous avons pris conscience de cet état.


 Comprenez bien que ce travail peut difficilement être effectué tout seul. Sans l’aide d’un thérapeute, notre ego va nous masquer ce que nous ne voulons pas voir, nous dire que nous allons nous en sortir tout seul et… revenir à la case départ. Un accompagnement est à mon sens nécessaire, avec un thérapeute confirmé et un engagement profond de tout notre être.


 La part de nous qui « laisse la porte ouverte », c’est le petit enfant en souffrance qui a manqué d’amour, d’attention, et qui cherche à faire plaisir, à se conformer à ce qu’un adulte attend de lui, à se faire aimer. Nous avons remarqué que bien souvent, les filles ont été pompées par leur mère, et les hommes par leur père (plutôt dans ce cas-là par une autorité très forte, très exigeante). Bien que cette constatation générale peut puisse s’inverser puisque nous avons chacun en nous une polarité féminine et une polarité masculine.


 Il y a donc à la base un manque d’amour, que nous cherchons à combler par l’extérieur.  Par exemple : « En étant gentil(le), je comble les angoisses de maman.». « En étant performant, je réponds aux exigences, aux attentes de papa ». Et, pour parfaire le tableau, ce schéma va se rejouer avec notre conjoint, notre collègue de travail etc...


 Nous sommes donc en attente de cette reconnaissance, de cet amour, qui ne vient pas, qui ne viendra pas. Chez les femmes, la part de nous qui autorise ces intrusions peut être ce que j’appelle « la mère universelle », celle qui veut combler les désirs, les attentes de chacun comme elle le ferait avec son enfant. Elle a tellement eu l’habitude « d’absorber » les émotions de l’autre, des autres, elle a bien appris la leçon qu’on lui a inculquée. Fonctionner de cette manière nous empêche d’être nous –même, et va nous pousser à adopter des attitudes pour s’adapter à l’autre, mettant à mal nos propres aspirations, nos propres désirs.


 Cela est d’autant plus difficile que la victime protège le parent-bourreau qui est malgré tout aimé. Tout comme l’enfant ayant vécu un attouchement, un viol, la culpabilité est réelle et ils essaient de protéger ce parent d’où la difficulté à reconnaître le traumatisme, à l’accepter et le dépasser par une vision objective et adulte.


Dans le prochain article (3/3), nous verrons comment nous libérer de ce poison dans notre corps, pour le voir enfin comme un élixir de vie…

Je vous souhaite le meilleur.

Nath

 

* Un voyant, un medium ou un guérisseur va couper les liens, mais sans un engagement profond, une prise de conscience de votre part, cela reviendra.


PS : Gardez votre libre-arbitre pour cette lecture. Il s’agit d’une réflexion personnelle issue de mon propre vécu, qui n’engage que moi…

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:47

Raiponce-MereGothel.jpgBeaucoup de personnes que nous côtoyons ont une certaine sensibilité qui les amène à ressentir les âmes des humains décédés chez elles. Et ce, parfois, de manière très répétitive, voire insistante, au point de les perturber de plus en plus : angoisses, difficulté à dormir parce que réveillées en pleine nuit pour « discuter » ou pour être confrontées à une « ombre » pas toujours sympathique et bienveillante… Oh, pas forcément méchante, mais bien dérangeante.


 En général, ces personnes nous appellent en disant : « J’ai un passage d’âmes dans ma maison ». Et nous venons harmoniser le lieu. Effectivement, nous tombons pratiquement toujours sur une cheminée cosmotellurique * négative, ou un passage d’âmes de personnes décédées, d’un point précis à un autre de la maison, souvent en rapport avec la cheminée physique, l’escalier etc…


 L’environnement y a souvent sa part de contribution : château, église, cimetière ou couvent à proximité, dans un petit village médiéval etc… Nous effectuons alors une étude des phénomènes cosmotelluriques avec rectification radiesthésique. Ainsi qu’un travail de passage d’âmes.


 Notre travail donne un  « coup de balai », un coup de frais bien palpable dans toute la maison, comme un ménage éthérique du monde invisible, avec un air plus sain, plus aéré et souvent plus de lumière.


 Mais quelques temps plus tard, souvent au bout de 3 semaines, certaines personnes (peu par rapport à la globalité) nous rappellent en invoquant le fait que « cela recommence » de manière plus ou moins forte : bruits à répétition surtout la nuit, « bousculement » dans l’escalier etc… ! Les manifestations ont lieu à nouveau. Le travail de nettoyage que nous avons effectué ne suffit pas. Ils ont parfois fait appel à plusieurs personnes, mais rien n’y fait.


 A ce moment-là, il y a à se pencher sur la personne, son passé. Lorsqu’il y a une manifestation à l’extérieur, quelle qu’elle soit, il y a fort à parier qu’un écho, une résonance est installée à l’intérieur de la personne, la plupart du temps depuis fort longtemps.


 Dans l’enfance, cette personne a été généralement pompée par un membre de la famille. Les femmes sont plus sensibles à cet état de faits, mais on trouve aussi des hommes très sensibles en proie aux mêmes problèmes. Cela vient du fait que le Féminin est accueil, réception, ouverture, dans la symbolique. Et du coup, il y a une difficulté à poser des « limites du territoire ». Et on se laisse envahir, sans avoir conscience qu’une part de nous a donné l’autorisation.


 C’est-à-dire que l’enfant qu’on a été, a intégré « grâce » à un parent – souvent un pervers narcissique** - qu’il y avait lieu de laisser faire, que le seul moyen d’exister était de laisser rentrer cette personne dans son champ d’énergie vitale propre et d’accueillir, d’intégrer même ses peurs, ses angoisses pour « le soulager ». Il est bien entendu impossible de le soulager de cette façon. Mais tout ceci se jouant à l’intérieur de nous, de manière totalement inconsciente, nous n’avons pas la faculté de le comprendre. Surtout que ce mécanisme se met en place dès l’enfance, avec son lot de conséquences plus tardives, et plus ou moins graves…


 Cela donne des adultes très gentils, très compréhensifs, très à l’écoute, qui se laissent marcher sur les pieds par un conjoint, un collègue de travail etc… Ces personnes ressentent beaucoup de fatigue,  leur énergie est constamment pompée par une ou d’autres personnes, créant des failles dans leur champ d’énergie vitale, dans leur aura qui du coup va laisser passer tout type d’énergie, allant des formes pensées aux âmes humaines, en passant par des entités plus ou moins réjouissantes… ! Ceci peut aller jusqu’à l’épuisement, la déprime etc…


 Imaginez un instant : vous laissez la porte de votre maison constamment ouverte. N’importe qui va pouvoir entrer, vous déranger à n’importe quel moment, et ce à votre propre détriment, sans votre autorisation. En même temps, c’est vous qui laissez la porte ouverte… De plus vous aller tomber malade car vous êtes dans un courant d’air permanent ! Et bien, c’est la même chose sur votre personne.


Ce phénomène peut atteindre différents degrés. Nous pouvons même rencontrer chez ce type d’individus des pathologies compliquées du type « maladie de Lyme », ou « comment se faire pomper par une tique », et tout son lot de dérèglements physiques par un système immunitaire en chute libre. Comprenez bien qu’il s’agit là d’un cas très perturbant pour la personne qui est en grande souffrance, psychique et physique.


Alors… me direz-vous… Où est la solution ? Parce qu’il y en a une, forcément…


... A suivre… !

 

Nathalie

PS : Gardez votre libre-arbitre pour cette lecture. Il s’agit d’une réflexion personnelle issue de mon propre vécu, qui n’engage que moi…

* Cheminée cosmo-tellurique : phénomène tellurique étudié en géobiologie, correspondant à une sorte de colonne verticale qui permet la respiration de la terre.

** Pervers narcissique, voir ici les 20 points : http://tempsreel.nouvelobs.com/le-dossier-de-l-obs/20120315.OBS3872/pervers-narcissiques-20-pistes-pour-les-reconnaitre.html

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25 janvier 2014 6 25 /01 /janvier /2014 12:06

tragedy-life.jpg

"La tragédie de la Vie n'est pas la mort, mais ce que nous laissons mourir à l'intérieur pendant que nous vivons"
 

For TOO LONG you have allowed the past to affect you!
For TOO LONG you have taken personally what others say about you!
For TOO LONG you have stood on the sidelines watching others thrive!
For TOO MANY NIGHTS you have gone to bed worrying about what may be.
For TOO LONG you have held a fear in your heart.
For TOO LONG you have settled for second best!!

NOW is the time to awaken!
NOW is the time to shine!
NOW is the time to ACCEPT that you are DIVINE!!

This is my message for you - allow it to touch the deepest parts of your being - to help you awaken to the truth - that you do deserve to live a GREAT life - and whatever that means for you!

~ Lee-Anne Peters ~
Temple of Balance

 

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 22:06

 

Parents-divins.JPG"Le but de cet article n’est pas d’analyser les conséquences des traumatismes de notre enfance/ adolescence mais d’introduire la vidéo de méditation consacrée à « la rencontre de nos parents divins ».

 

« Pourquoi avoir des parents divins ? J’ai bien assez des miens, et ce n’est déjà pas de la « tarte »… » Et si vos véritables parents n’étaient pas ceux que vous croyez ???? Je ne suis pas en train de vous expliquer que vous avez été recueilli dans un panier à la porte d’un couvent mais simplement que nous avons tous à gagner à aller voir au-delà de l’évidence.

 

La majorité des personnes que nous rencontrons en séance énergétique ou en harmonisation de maisons n’ont pas eu les parents qu’ils « espéraient ».  Enfants, elles rêvaient de parents idylliques, un peu comme dans les films des années cinquante où toute la famille est merveilleuse (et un peu nunuche) à souhait. Plus sérieusement, rares sont les personnes qui nous disent avoir eu une enfance heureuse, c’est-à-dire sans regrets avec le recul, avec tout l’amour qu’elles attendaient, sans traumatisme etc. Pourquoi ? Tout simplement parce que nos parents et nous à notre tour ne sommes « que » des humains et que ce rôle ne s’apprend pas à l’avance. Même lorsque nous croyons bien faire, répondons-nous réellement à l’attente de l’enfant ? En outre, combien de phrases assassines du genre « tu n’arriveras jamais à rien », « qu’est-ce que je vais faire de toi », « tu me fatigues » etc se sont inscrites en lettres de feu dans notre cerveau… et celui de nos parents avant ? Et ces phrases se rappellent à notre bon souvenir au fil d’une remarque, d’une situation tout en pulvérisant en quelques secondes toute initiative ou courage.

 

Beaucoup d’adultes souffrent aussi après coup, de l’absence du père. Plusieurs raisons à cela. Pour toute une génération d’après-guerre la priorité a été le travail, la reconstruction, et non offrir son amour à ses enfants. Pour d’autres plus près de nous, cette absence n’est reconnue que depuis peu car pas évidente à repérer puisque le père était bien là physiquement. Il était toutefois sans implication réelle dans la vie quotidienne hormis éventuellement pour faire « régner l’ordre familial». Pour d’autres, le moment de notre vie où nous sommes censés être protégés, choyés, dorlotés s’est parfois transformé en long apprentissage de la vie… par la souffrance d’une séparation, d’une incompréhension latente, ou d’une violence répétée…

 

Même si globalement, il y a un soupçon d’amélioration, de graves traumatismes naissent encore des relations parents-enfants. Que faire ? Changer nos parents ? Se faire adopter par d’autres, plus « gentils », plus riches, plus pauvres, partageant un peu plus nos passions ? Pas facile… Et si nous regardions les choses d’une manière différente ? Quelles que soient nos croyances, notre éventuelle religion, nous sommes issus du Divin et nous le portons en nous. Lorsque notre âme choisit de s’incarner sur terre, elle vient de quitter l’Amour inconditionnel Divin. Elle passe donc d’un état d’Amour, de Lumière Divine, de paix pour un monde chaotique. La difficulté n’est pas d’arriver dans une famille humaine (que nous avons choisie) en proie à ses peurs humaines mais de retrouver d’où nous venons. Au cours d’une méditation, j’ai eu l’image d’autres parents que les miens purement humains, plus grands, plus lumineux. Ils me sont apparus comme étant la Terre Mère et le Père Divin (appelez les comme vous le voulez). Si nous reprenons conscience d’être leurs enfants (comme les amérindiens entre parenthèse), dès lors, nous changeons radicalement de vision, d’énergie et surtout, de regard sur le monde… et sur nous ! Nous nous reconnectons à cette Essence Divine, à cette Source Divine que nous passons inconsciemment notre temps à chercher. Dès lors, nous avons la certitude d’être accompagné, guidé, de ne plus jamais être seul et surtout, d’avoir retrouvé cet amour inconditionnel de nos… véritables parents. Il ne s’agit pas de renier nos parents physiques, mais simplement d’accepter notre filiation divine au-delà de ce que l’on nous a enseigné. Plutôt que d’expliquer en large et en travers comment ressentir et percevoir ce que je vous explique, nous vous proposerons d’ici quelques jours, une vidéo de méditation qui vous aidera à retrouver ces Parents Divins dont nous avons tant besoin.

 

A bientôt

Jean

 

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7 novembre 2011 1 07 /11 /novembre /2011 17:37

angelico15.JPG

La maladie est une distorsion de notre être profond.

En cas de cancer, il y a les cellules en bonne santé, et les cellules destructrices, celles qui non seulement ne veulent plus vivre, mais en plus s’attaquent aux autres.

Comme si, à l’intérieur de nous-mêmes, une partie de notre être voulait vivre et l’autre… se dit : « A quoi bon ? », « Je ne suis pas aimé(e), pas reconnu(e) », « Je ne vaux pas le coup » etc…

A l’origine de la maladie, il y a une dysharmonie de notre être.

D’un côté, il y a l’âme qui pousse à une quête : une quête d’amour, une quête du sens de notre vie, de qui je suis et qu’est-ce que je veux vraiment. Le Je divin.

Et de l’autre, il y a nous, qui nous débattons entre le travail, les enfants, le vie de couple ou de célibataire. Nous qui courrons après le temps, après l’argent… parce qu’il en faut pour vivre, et payer ses factures.

Or l’éducation, l’école, la société nous apprend qu’il faut travailler, gagner de l’argent, se marier, avoir des enfants. Il n’y a qu’à voir les pubs pour les assurances : c’est exactement ça. Le problème est que l’on tend toute notre vie à réaliser tout ça, plus ou moins bien, mais surtout à quel prix !

On travaille « parce qu’il faut bien gagner sa vie ».

On reste avec tel ou tel conjoint : « Bon, lui (elle) ou un(e) autre… J’ai pas envie d’être seul ».

On a des enfants parce qu’on approche de la quarantaine (enfin, pour les femmes) et qu’on nous a dit que c’était mieux d’en « faire » avant…

Oui, la société nous apprend tout cela et c’est notre quotidien, notre vie.

 

Mais notre âme, elle, pendant ce temps, bouillonne.

Elle a soif. Elle a faim.

Il est nécessaire de la nourrir, de lui donner à boire.

Et elle, par contre, est bien loin du métro-boulot-dodo pour lequel on se « tue » à la tâche… !

Elle a des aspirations beaucoup plus hautes, beaucoup plus élevées pour chacun d’entre nous.

Elle nous pousse, à trouver le sens, le sens véritable de ce que l’on vit :

-          Est-ce qu’au fond de moi, je me réalise vraiment dans ce travail ? Est-ce qu’il est assez créatif, assez gratifiant pour moi ? Ais-je la reconnaissance à laquelle j’aspire ?

-          Avec ce conjoint : est-ce que je suis épanoui(e) ? Est-ce que je me sens acceptée tel(le) que je suis, dans mon intégralité ? Reconnu(e) ?

-          Ai-je assez de temps pour nourrir mon âme dans son essence : pratiquer un art, une activité, prendre du temps pour moi, pour rêver, pour méditer, et calmer le flux incessant de la vie extérieure, et tout le stress qui en découle ?

 

Si ces conditions-là ne sont pas respectées, alors nous nous éloignons de notre âme.

Ahh, j’entends bien ce que vous dites : mais tout ne peut pas être parfait dans ma vie… !

Mais il ne s’agit pas de perfection, là.

Et quand l’écart devient trop grand, quand nous ne sommes plus que des robots plus ou moins inconscients, alors la vie nous rappelle à l’ordre à travers notre corps, le premier en souffrance. Parfois de manière plus ou moins violente.

 

Depuis nos pensées, nos émotions, notre stress qui ne sont plus en accord (plus ou moins consciemment) avec notre âme, va se créer une dysharmonie avec nos cellules.

Et la maladie va se déclarer.

 

Et si, en même temps que l’on prend un traitement, des médicaments pour soigner le corps*, et si l’on entendait notre âme dans ce qu’elle a à nous dire ?

 

Ne pas hésiter à se faire aider, d’un point de vue psy, énergétique, émotionnel et/ou spirituel.

 

La Vie est là qui nous aime. Seulement, elle ne veut pas de gâchis, pas de sacrifice. Elle désire le meilleur pour nous-mêmes, n’hésitant pas à nous rappeler si nous nous égarons. Ce n’est pas facile à entendre pour certains, je le conçois, mais il s’agit bien là de notre vie, et parfois de notre survie.

 

Alors ne nous trompons pas.

Même si la société nous le dit (de manière plus ou moins insidieuse), le bonheur n’est pas de travailler. Ni d’amasser de l’argent par sécurité. Ni de se marier. Ni d’avoir des enfants. Ni d’acheter le dernier ipod.

 

Le bonheur, c’est d’être vrai, en accord avec son être profond. Ce qui implique d’apprendre à le connaître, à savoir ce qu’il désire. Et de prendre du temps toutes les semaines, tous les jours avec cela.

 

Ne nous trompons pas de quête. La quête travail / argent est révolue. Il n’y a qu’à regarder l’état actuel de l’économie et du chômage pour le réaliser.

 

La quête de Soi est à notre portée, pour qui veut bien s’y pencher.

 

Nous avons le choix de nous y consacrer. Ou pas.

 

De faire le choix de la raison : « Il faut que » « Je dois.

Ou le choix de notre âme : « J’aspire à ». C’est un choix de chaque instant. Dans nos relations aux autres, à l’autre. A nos amis, notre famille, nos collègues de travail.

 

Alors mettons au repos notre cerveau, notre intellect, et branchons-nous sur notre âme. Elle saura nous transmettre ce qu’elle a à nous dire, du plus profond de nous même.

 

Namasté,

 

Nathalie

 

 

 

* Ne nous leurrons pas là aussi, il est très important de soigner ce corps malade avec des traitements médicamenteux. On n’a pas le choix. Et je ne dis pas cela pour me faire bien voir du corps médical… C’est aussi important que de soigner l’Esprit, l’Ame.

 

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 10:34
danse-lune-copie-1Je suis porteuse du Féminin blessé.

Du féminin blessé de ma famille, de mes ascendants, de mon pays, de ma religion, de ma société, de mon travail.

Du féminin blessé de l’inconscient familial, de l’inconscient collectif, de l’humanité.

Ce féminin, blessé de n’avoir pu ouvrir un compte en banque avant 1942, de n’avoir eu le droit de vote qu’en 1944.

 

Blessée d’avoir été humiliée, bafouée, torturée, perforée, transpercée.

Insultée.

D’avoir été jalousée. Trahie. Trompée. Envahie. Dépossédée. Renversée. Rabaissée.

 

A ce titre, j’ai souffert tous les mois dans ce corps de femme fatigué, alourdi par les tâches, les projets, les espoirs non aboutis, les désirs non réalisés.

Mon corps s’est gonflé à chaque nouvelle lune. Il m’a faite souffrir dans mon ventre, trembler sur mes jambes, vaciller sous les hormones, pleurer dans la tête et dans le cœur, déprimer d’avoir trop aimé et pas assez mûri.

 

Aujourd’hui, je réalise que ce Féminin est une bénédiction.

Bénédiction de pouvoir donner la vie.

Bénédiction de pouvoir aimer, de pouvoir donner.

Bénédiction de pouvoir rire et chanter.

Bénédiction de pouvoir créer, jouer, espérer.

Bénédiction de pouvoir jouir de sexe et de vie.

 

Malgré toutes les luttes et les humiliations, j’ai avancé.

J’ai regardé en moi cette blessure béante.

A l’intérieur mon regard s’est porté. Il a vu le potentiel de cette souffrance.

Souffrance de ne pas exprimer pleinement les capacités inouïs qui s’offraient à moi.

 

J’ai réalisé la pleine mesure de ce Féminin ouvert à la relation.

J’ai compris l’écoute à l’autre.

J’ai entendu ce qui ne se disait pas dans les émotions, dans les paroles.

Ce ventre qui voulait vivre malgré tout, libéré du souvenir de n’être, de naître qu’une fille.

 

Etre aujourd’hui une femme pleinement consciente de toutes les richesses intérieures qui jaillissent en moi.

Dévoiler, magnifier ce corps et cette âme pleins de délicatesse.

Embellir, mettre en avant les pensées et les actes de ce trop plein d’émotions enfouies et enfin libérées.

Exposer à l’extérieur tout ce qui se cachait à l’intérieur.

Offrir, tremblante et vibrante, cette chair à l’homme nouveau qui a compris.

Compris qu’il ne devait plus écraser ce féminin en germe.

Compris qu’il avait à soutenir, épauler ses frêles projets.

Seconder ses missions.

Protéger ses actes.

Etre au service de ce nouveau féminin épanoui avec fragilité pour lui permettre d’exister pleinement et de vibrer la vie.

 

Et, à son tour, la puissance du féminin, forte de cette complémentarité, permet au masculin d’aller découvrir au fond de lui-même ses émotions refoulées, ses actes manqués.

De mettre à jour sa foi, ses craintes de ne pas être à la hauteur.

 

Ensemble, ils peuvent créer ce monde nouveau sans guerre et sans destruction. Sur une planète propre et respectée.

Ensemble ils aiment et admirent la Nature dans toute sa puissance féconde.

Ensemble ils incarnent cette Présence à l’autre, sensible et sensée, pleine de foi dans la vie et dans l’amour.

Ensemble, ils peuvent faire émerger cette mission du couple uni et réuni dans une réalité sereine et confiante.

 

Dans une incarnation commune libérée de ses chaînes et ses blessures.

 

Nath

 

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25 juillet 2011 1 25 /07 /juillet /2011 19:15

klimt_kiss.jpgJe ne sais pas vous, mais de mon côté, pendant de nombreuses années, les ruptures sentimentales qui ont jalonné ma vie ont été considérées comme de lourds échecs, de grands obstacles à ma réalisation affective.

 

A chaque fois, le processus était – à peu de choses près – le même.  Le scénario se rejouait dans des conditions à peu près identiques.

 

Tous mes amis m’entouraient et me donnaient raison :

- «  C’est un salaud ! »

- «  Il ne te méritait pas ! »

Et même :

-          « Je vais lui casser la gueule »

 

Ce qu’ils ne faisaient jamais, bien entendu.

 

Et ce, que la décision de rompre vienne de lui, ou de moi.

Ce pauvre ex en avait pour son grade, et toutes les fautes, toutes les responsabilités lui incombaient. Il avait tous les défauts de la terre. Il était menteur, colérique, radin, manipulateur, coureur, fainéant, macho, enjôleur, méchant. Pas assez sensible, trop bringueur, trop peu délicat, pas assez à l’écoute… Bref, jamais à la hauteur.

 

Et moi de me draper dans une dignité blessée... La princesse déchue. Je pensais que c’était la seule solution… Et quelque part, cela m’allait bien d’avoir le beau rôle. Mon ego s’en félicitait.

Mais un jour, au bout de ma énième rupture, mon rôle de « veuve éplorée » et toute cette fierté m’ont gonflée. Je désirais autre chose, je sentais bien que la vérité n’était pas là.

 

Ce rôle de victime, je n’en voulais plus.

J’ai préféré comprendre pourquoi je tombais systématiquement sur des hommes qui ne me convenaient pas, ou du moins pas longtemps.

J’ai voulu analyser ce scénario qui se reproduisait sans cesse. Or, le seul point commun à toutes ces histoires, c’était moi…

Et c’est ce mot « victime » qui a tout déclenché.

 

A cette époque de ma vie, je suis tombée « par hasard » sur un atelier d’analyse et interprétation de rêves.*

 

L’analyse du premier rêve a été un choc pour moi. Et tous les autres : une révélation.

Ce premier rêve montrait que lorsqu’une histoire d’amour est brisée, il faut arriver à sauvegarder la dimension du couple intérieur, la dimension de l’Amour, pour que l’échec de CE couple ne soit pas l’échec DU couple. Il faut retirer toute la dimension de l’harmonie du masculin et du féminin, il faut pouvoir la sauvegarder de l’échec du couple pour pouvoir la recréer. D’abord à l’intérieur de soi. C'est-à-dire tout simplement croire au plus profond de soi que l’Amour est toujours possible, malgré les ruptures précédentes. Garder la foi en l’avenir, extraire de l’échec cette dimension du couple uni et indestructible.

 

Quand il y a un amour blessé, il faut pouvoir se délivrer et maintenir libre cette puissance de vie. Que cette puissance d’Amour au plus profond de nous ne reste pas dans une vie structurée sur l’échec de ce couple. Libérer la puissance de vie, c’est qu’en moi, même si à l’extérieur ce couple a échoué, en moi puisse se réunir le masculin et le féminin dans mon être déjà, pour rendre possible l’amour à l’extérieur.  Il y a à sortir la dimension symbolique du couple de l’échec.

 

L’analyse des rêves, c’est tout un processus interne, qui va mettre un certain temps à réparer cette dimension à l’intérieur de notre être. Une « enfilade » de prises de conscience qui vont changer notre regard sur la relation.

 

A l’époque je rêvais beaucoup de chevaux. Et ma jument préférée, Utah, représentait une féminité très sensible, très présente, très harmonieuse.  Et c’était elle, symboliquement, qu’il m’a fallu retirer de l’échec du couple. Il m’ fallu remettre sur pied cette féminité-là, blessée, la remettre dans le mouvement de la vie.

 

Sinon, le risque était de m’endurcir. En apparence, car quand on « s’endurcit », c’est toujours superficiel et à l’intérieur, l’être sensible que nous sommes, lui, souffre toujours autant ! Enlever cette carapace du « On ne m’y reprendra plus ». Oter ce « Je ne me ferais plus avoir », générateur de méfiance, de crispation qui nous enlève toute spontanéité. Et qui n’est autre que le révélateur de notre souffrance passée que l’on ne veut pas lâcher. Le rêve terminait sur une note résolument optimiste : j’avais du foin pour nourrir tous les chevaux. C'est-à-dire : j’ai tout ce qu’il faut en moi, toute l’énergie nécessaire pour mener à bien la délivrance du couple intérieur.

 

Le processus des rêves, à travers plusieurs années (oui, nous avons toujours de la difficulté à lâcher nos vieux schémas…) m’a permis de lâcher cette croyance de « L’homme va me tromper, me bafouer ou pire, m’ignorer », tout en nommant les origines de la souffrance, liées bien évidemment à la petite enfance, la naissance, et la relation à papa et maman (incontournable). Cette analyse m’a révélé mon manque de confiance et ses origines. J’avais l’impression d’être complètement inintéressante pour un homme, pas à la hauteur, pas assez intelligente. Donc du coup, je me débrouillais inconsciemment pour tomber justement sur des hommes qui révélaient cette faille chez moi, des hommes qui ne voyaient pas mon potentiel… Ben tiens, comment aurait-il pu le voir, puisque moi-même je ne le voyais pas ? J’ai donc pris conscience de ma sensibilité, de mon écoute, de mon intuition, de mon ressenti, de ma capacité de création et de toute ma dimension féminine. Et j’ai arrêté les jugements de valeurs sur moi.

 

Cette profondeur a vu le jour chez moi progressivement. Entre-temps, les relations / ruptures / nouvelles relations se succédaient, m’offrant à chaque fois un nouveau champ de compréhension.

 

Et un jour… Je me rappellerais toujours de ce moment intense et si singulier… Un jour que je pleurais toutes les larmes de mon corps car Eric était reparti à des milliers de kilomètres, argumentant qu’il ne m’aimait pas assez pour rester avec moi, me laissant tomber comme une vieille chaussette avec une froide indifférence… Tout d’un coup, à travers mes larmes, la tristesse a fait place à un grand calme. Une grande sérénité a fait cesser toutes mes larmes. D’un coup, j’ai pris conscience qu’au fond, j’avais déjà vécu pire. Et que je m’en remettais toujours. Cette rapidité de changement d’émotions m’a tellement marqué que je m’en rappelle comme si c’était hier. A partir de là, j’ai intégré cette nouvelle force en moi, qui me permettait d’accepter mon célibat et de passer de bons moments en ma propre compagnie sans attendre que l’homme extérieur viennent combler mon gouffre affectif. Je n’ai plus cherché à l’extérieur l’homme idéal.

 

Et la vie, quelques temps après, m’a proposé un tout autre scénario, bien différent des précédents.

Une vraie rencontre, une vraie relation.

Avec un homme qui m’écoutait : cela fait bizarre, au début…

Et qui m’a aidé – et qui m’aide encore - à découvrir mes propres valeurs, pendant que je découvrais les siennes. Une relation consciente où chacun est responsable.

 

Arrêtons d’être victime.

Personne n’a raison. Personne n’a tort.

Chacun son chemin.

Arrêtons d’être coupable.

Soyons juste présent, à soi, à l’autre.

 

Voilà ce que je voulais vous offrir aujourd’hui. Vivez l’Amour : il est là, il vous attend au plus profond de vous-même.

 

Namasté,

 

Nathalie

 

* Ecole du Rêve et des Profondeurs de Montpellier – Pierre Trigano, Agnès Vincent

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 17:02

Norman et PetiotNous sommes aimés d’un Amour Inconditionnel.

Nous sommes aimés d’un Amour au-dessus de tout ce qui existe.

La Vie, l’Univers nous aime et veut exclusivement notre bonheur.

Le tout – et le plus difficile – est d’en prendre conscience.

Et que toutes nos pensées, tous nos actes soient empreints de ce bonheur, de cet amour.

 

Ce n’est pas vrai que les autres nous veulent du mal, veulent nous arnaquer, nous posséder, nous détruire.

Ceci n’est que l’illusion de l’ego, notre façon de voir les choses. Les projections que nous faisons sur les autres. Ils font ce qu’ils peuvent de leur côté, avec leur propre héritage. Cela ne les excuse nullement, entendons-nous bien. Mais c’est juste une question de compréhension.

J’ai peur de me faire avoir car un jour j’ai trompé quelqu’un, j’ai menti, je me suis « arrangée », j’ai dévié de ma Source. Mais c’est à moi que j’ai menti, que j’ai ainsi fait le plus grand mal, et qu’ainsi je me suis trahie.

 

La Vie nous veut le plus grand bien.

Les autres, notre relation aux autres est là pour nous faire grandir.

 

Nous sommes tous aimés au-delà de toute espérance.

Le Divin nous aime au plus haut de nous. Chacun au plus singulier de lui-même.

Chacun dans notre singularité, au plus profond de nous.

Réaliser cela est une bénédiction.

 

Avec tout cet amour contenu, retenu au plus profond de moi, je pleure et me libère de mes chaînes. Avec ce bonheur en devenir, je me nettoie, je me guéris.

Je me soigne.

Je me nourris.

Je m’abreuve.

Dieu, que cette musique est belle. *

 

Je suis épuisée. Je suis vidée.

Je vous aime Dieu. Je me sens tant aimée de vous.

Pourquoi je ne le réalise pas ? Je suis une imbécile.

 

Une petite voix au fond de moi :

 

-          Aime cette imbécile.

-          Nettoie. Nettoie. Purifie. Purifie.

-          Tu es belle

 

Pleurs et rires.

 

-          Tu es tellement belle dans ta « faiblesse », dans ton imperfection, dans tes larmes, dans ta souffrance de ne pas être « assez » aimée.

-          Alors que tu l’es.

-          Infiniment. Plus que tu ne peux l’imaginer.

-          Alors choisis.

-          Choisis de l’entendre. Ou pas.

-          Choisis de le sentir. Ou pas.

-          Veux-tu du bonheur, de la joie, de l’amour ? Cela est là, à foison, à ta disposition.

 

Larmes. Larmes.

 

-          Nettoie. Nettoie.

-          Nettoyage. Purification.

-          Cette blessure de non-amour, comme tu l’appelles… Enlève le mot blessure, et le mot non. Reste AMOUR. Il n’y a que ça autour de toi, dans toi.

-          Tes cellules sont en train de l’intégrer.

-          Aime toutes les facettes de toi, les bonnes comme les mauvaises.

-          Pas de jugement. **

 

Je me sens lasse. Vidée. Mais sereine, remplie.

Mon corps est allé au bout de ce non-amour.

Il s’est épuisé dans un travail qui ne lui convenait pas, dans des relations qu’il n’aimait pas. Dans des comportements, des attitudes qui ne lui seyaient pas.

 

-          C’est lui, ce corps, qui est aux commandes.

-          Et maintenant il te dit stop. Avec des migraines, des douleurs partout.

-          Stop. Regarde l’Amour que l’on te porte et qui est déjà planté en toi. Au lieu de le chercher à l’extérieur, avec des personnes qui ont trop de problèmes pour te voir.

-          Ne cherche pas notre Amour car il est déjà là, très près de toi, en toi, à ta disposition.

-          Tes cellules l’entendent déjà.

-          Que tu es jolie quand tu pleures de nous savoir là, tout près de Toi !

-          Oui, « T » majuscule. Comme le Divin.

 

Qu’est-ce-que je vous aime !

 

-          Quand tu dis cela, c’est Toi que tu aimes car c’est la même chose.

-          Nous sommes au cœur de tes cellules, sous ton ego et ton ignorance, sous tes illusions.

-          Une seule prise de conscience comme aujourd’hui peut tout renverser et tes cellules divines vont effacer tes cellules de doutes, de douleurs. Elles vont les remplacer par du pur Amour, du pur Divin.

 -          Puise encore et encore dans notre Amour.

-          Nourris-toi.

-          Délectes-toi.

-          Irradie-le autour de toi.

-          Les cellules divines remplacent les cellules abîmées, écrasées, diminuées par trop de négativisme et de pensées négatives.

-          Profite de la guérison exceptionnelle qui t’est accordée.

-          Cette purification va se continuer tout au long de tes méditations et de tes prises de conscience.

-         Tout ce que tu cherches est déjà là, comme les objets que tu perds en ce moment et que tu retrouves… à leur place.

-          Le pire, c’est de croire ce que l’ego vous dit : mais non, tu t’aimes bien, finalement…. : pas de demi-mesure !

-          Es-tu heureuse dans ta relation à l’autre, aux autres ? Dans ton travail ? Dans ta vie ?

-          Si tu n’es pas heureuse c’est que tu n’as pas réalisé tout ce qui vient d’être dit.

 

J’entends bien ce que vous pensez.

Vous vous dites : « Pfffuiiit ! Elle délire, une de plus ! ».

C’est dur, hein, de croire au bonheur plutôt qu’au malheur... C’est difficile, n’est-ce-pas, d’entendre une aussi belle déclaration d’amour…

Si vous n’y croyez pas, je vous demande de faire « comme si ».

Juste un instant, juste quelques heures…. 

Faire comme si vous étiez profondément aimés par la Vie. Que la Vie, à travers les autres, et surtout à travers vous-même, ne vous veut que du bonheur.

Agir comme si le meilleur, à l’intérieur de vous, rencontrait le meilleur de votre vie à l’extérieur. Les meilleures personnes, les meilleures situations.

Comme si vous étiez aimés dans votre imperfection : dans votre colère, dans votre tristesse, dans votre fatigue, dans vos contradictions. Dans vos mensonges. Et même, et surtout, dans votre maladie.

Comme si vos meilleurs projets, longtemps rêvés, allaient se réaliser, là, maintenant. Tout de suite.

  

Vous me direz ce que vous avez ressenti, au plus profond de vous, durant ces moments.

 

Je vous souhaite le meilleur pour vous-même.

 

Nathalie

 

* Michel Pépé. Les ailes de lumière

** Référence à un film que j’avais vu la veille, où un groupe répétait plusieurs fois : pas de jugement ! Cela me faisait beaucoup rire.

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 16:35

branche-bonaguil.jpgBeaucoup de personnes se disent medium et c’est bien, mais je voudrais vous mettre en garde contre certaines pratiques qui, même si elles partent d’un bon sentiment, restent tout de même hasardeuses, voire dangereuses.

 

Tout d’abord, entendons-nous bien, nous sommes tous mediums. Qui n’a pas un jour pensé à une personne, qui, juste à ce moment là, appelle au téléphone ? Qui n’a jamais ressenti un mal être en rentrant dans un lieu ? Oui, nous avons tous la faculté de ressentir certaines personnes ou certains évènements de manière très subtile, très aiguisée. Après tout, la médiumnité n’est ni plus ni moins qu’une intuition très poussée, et nous sommes tous capables, avec un travail sur le ressenti, de la développer. Les Aborigènes d’Australie utilisent leurs facultés extra-sensorielles pour communiquer de l’un à l’autre par l’esprit, de manière tout à fait naturelle. Avec nos portables, nous avons l’air tout bête à côté !  Et ils interprètent leurs rêves tous les matins, pour comprendre le sens de leur vie et suivre leur chemin. Ils ont tout compris, sans la technologie, eux…

 

Nous l’avons tous, ce 6ème sens, mais chez certaines personnes, cette faculté est plus développée. Soit ils l’ont dès la naissance, soit ce potentiel s’est développé après un accident, souvent avec traumatisme crânien, après une électrocution, un coma etc… La mort a été frôlée, et avec cet accident le canal s’est ouvert. Parfois ils n’en ont même pas conscience, et mettent ça sur le compte de l’imagination, du délire.

 

La « transmission de père en fils » (ou de mère en fille) me fait toujours peur. Pourquoi aurait-on le même don que nos parents ? Parce que ce sont, justement, nos parents ? A-t-on la même mission qu’eux de soigner ? Permettez-moi d’émettre un bémol à ce niveau-là. Les gènes n’ont rien à voir là-dedans…

 

En tout cas, le medium ressent des choses de l’invisible, parfois même de manière très précise, et nous pouvons être surpris par les détails qu’ils peuvent donner. Et c’est à partir de là que je voudrais vous mettre en garde.

 

En effet, tout dépend ensuite de la manière dont il vous retranscrit la scène, l’évènement, l’entité qu’il a perçus. Certains n’ont aucun sens pédagogique ni psychologique. Or une personne qui a perdu un être cher par exemple est extrêmement fragile, et nécessite un suivi qui l’accompagne sur le chemin de la guérison.

 

Si certains vous disent : « Votre sœur (frère, père, mère etc…) qui est morte est toujours avec vous », OK… Si l’on passe outre la peur que cela peut flanquer à certains, qu’en faites-vous après ? Comprenez que cette information de taille ne peut pas être balancée à la tête de n’importe qui, n’importe comment. S’il s’agit d’une personne sensible ou fragile, le mal est fait…

 

D’autre part, la personne qui est venue consulter risque de penser que tout ce qui lui arrive de mal – ou de bien - est à attribuer à la présence de cette âme défunte. Elle se décharge de ses responsabilités : « C’est pas moi, c’est la faute de l’entité qui est avec moi » ! Aïe aïe aïe, le piège… Je schématise, mais grosso modo, on est au cœur du problème.

 

Comprenez bien que je ne remets absolument pas en question leur capacité de voyance. Ce que je crains, c’est que si cette personne n’a jamais suivi aucune étude de psycho, ni de stage, ni lu aucun – ou peu – de livres traitant de ce sujet, que ce soit du deuil, de la dépendance affective ou autre, des émotions, de la psychologie, de la psychanalyse, il y a danger car elle va balancer à la personne des vérités qui sont peut être vraies, mais que la personne n’est pas prête à entendre à ce moment-là. Donc pour elle, cela ne sera pas juste. Et que celui qui est venu consulter va repartir plus mal, ou plus perturbé qu’il n’est venu.

 

Soyez vigilant. Attention à leur parole, de plus s’il n’ont fait aucun analyse psychologique de leur vie, aucune remise en question, aucun « travail » sur eux psychologique, aucune conscience de leur propre ego, ils peuvent très bien projeter sur vous leur propre mal-être, leur problématique non réglée etc…

 

Il en va de même pour les guérisseurs. Un bon vieux guérisseur « pas très finaud » peut vous enlever certaines maladies, mais s’il ne vous aide pas à prendre conscience de l’origine, cela reviendra.

 

Alors, allez-vous voir quelqu’un pour qu’il vous dise la bonne aventure ? Ou pour comprendre votre histoire, et avancer sur un chemin spirituel d’évolution ? Parce que tout est là…

 

De ce fait, fuyez les voyants qui n’ont fait aucun travail sur eux-mêmes et qui vous livrent toutes les infos en vrac, cela peut faire des dégâts sur vous. De même, prenez garde aux psy « purs et durs » n’ayant aucune ouverture spirituelle, ils vous feront tourner en rond dans votre ego sans possibilité d’en sortir. *

 

Le but est de nous brancher à notre Source de vie intérieure, à notre conscience d’évolution, à notre propre source de guérison. Pas aux « bonnes paroles » (certes, pleines de bons sentiments)  à l’extérieur.

 

Soyez clairs avec vous-mêmes et vous rencontrerez des personnes claires.

 

Nathalie

 

 

* L’école de Karlfried Graf Dürckheim enseigne une voie spirituelle et une voie thérapeutique, l’un ne va pas sans l’autre.

 

« Si quelqu’un me guérit et me retire mon mal, j’entends aussi qu’il me hisse au niveau de conscience que j’aurais atteint si j’avais moi-même résolu ce que ce mal devait m’apprendre. Si non, s’il me laisse dans le même état de conscience après m’avoir retiré mon mal, il me vole un outil de ma croissance que peut être cette maladie ».
Yvan AMAR

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 19:46

chemin-muret-pierre.jpg

   Lorsque je commence cet article, j’ai dans l’idée de vous parler des âmes humaines ou âmes errantes que nous rencontrons lors de soins énergétiques ou de l’habitat. Et finalement, c’est de l’Ame elle-même avec un grand « A » dont je vais vous parler. Bien sûr, ce n’est qu’une réflexion, à chacun sa vérité.

 

Ame, essence divine. Elle est à la fois intelligence Divine, beauté Divine et amour Divin. Elle  nous survit alors que nous ne sommes déjà plus que poussière. Mais notre âme à mes yeux, le temps de notre passage sur terre est aussi notre équipière avec qui nous avançons sur le même chemin. Toujours en perpétuelle évolution, elle traverse les âges, d’incarnation en incarnation. Ainsi, en fonction de ce qu’elle doit accomplir, c’est elle qui va choisir les parents du futur bébé dont elle habitera le corps avec bonheur afin de rencontrer les « épreuves » qui la feront grandir. Puisque nous et notre âme ne faisons qu’un, c’est nous qui avons aussi choisi de naître dans notre famille, notre quartier, avec nos problèmes quotidiens. J’en entends déjà dire « Pas moi en tout cas ! ». Mais si tout cela était une énorme chance justement ? La Vie n’est pas là pour nous torturer, nous faire souffrir mais nous faire avancer. A l’école (si cela se passe toujours ainsi), lorsqu’un élève ne comprend pas un exercice, il le refait, ou bien un similaire jusqu’à l’acquisition complète du raisonnement. N’avez-vous jamais remarqué comme nous « tombons » systématiquement sur le même type de relation, le même collègue jaloux, ou des voisins désagréables quelque soit le quartier où nous habitons… Jusqu’à ce que nous nous posions les « bonnes » questions, que nous acceptions de comprendre que peut-être… peut-être faudrait-il changer notre regard sur les évènements et prendre enfin conscience de notre part de responsabilités dans notre histoire. Et bien, pour notre âme, c’est un peu la même chose. Tant qu’elle n’a pas réussi à assimiler ce qu’elle était venu « travailler » sur terre, elle a droit à un « redoublement », une nouvelle incarnation. J’utilise volontairement des mots scolaires mais là aussi, ce n’est nullement une punition, bien au contraire. Imaginons l’âme d’une personne imprégnée de violence par exemple, « repartie » sans avoir pu la transmuter. Lors d’une incarnation suivante,  celle-ci devra comprendre comment cette violence tournée vers l’extérieur se retourne contre son être physique, à l’intérieur. Décortiquer l’origine de cette colère, sentiment d’injustice, non reconnaissance… souffrance d’origine personnelle ou bien transmise par ses parents, un ancêtre par l’héritage transgénérationnel, par son peuple etc. Notre colère ne nous appartient pas forcément, elle peut avoir été reçue. Alors peu à peu, à mesure de sa compréhension, le pardon, la paix et enfin l’amour de soi et des autres emplit le cœur de l’être meurtri habité. C’est en cela que nous faisons avec notre âme une équipe et un tout.

 

Ecouter notre âme, parce qu’elle sait ce qui est bon pour nous, c’est accepter de nous sentir responsable. C’est nous regarder dans le miroir pour la découvrir au plus profond de notre regard. C’est voir au-delà de nous-mêmes. Et là, si nous passons outre nos complexes, l’aspect de notre corps physique (qu’il nous plaise ou pas), alors nous voyons l’amour inconditionnel dont elle se fait l’écho. Nous regardons avec compassion nos erreurs mais surtout, tout l’espoir dont nous sommes capables. Alors pour changer les choses, nous nous questionnons, nous demandons enfin de l’aide pour comprendre, cela prend du temps mais notre âme a tout son temps et la foi pour accomplir sa mission. Si, sur un chemin nous nous heurtons chaque jour à la même pierre, alors que nous le savons et avons l’impression de bien lever les pieds, nous essayerons peut-être à un moment donné d’en connaître la raison. Pourquoi butons-nous chaque jour au même endroit ? Est-ce une fatalité ou un message de la Vie, de notre âme ? Peut-être que cette pierre est justement là pour nous obliger à nous questionner, « doit-on changer de chemin ? » « Mieux regarder où l’on met les pieds ? » Cache-t-elle un trésor bien enfoui en nous ? Vous me direz, au bout de la deuxième fois, il est « stupide » de se laisser de nouveau piéger par un caillou*. Oui, mais sans porter de jugement, c’est ainsi que nous agissons souvent dans notre vie.  Aveuglement volontaire, manque d’analyse, d’écoute de notre âme, tout ceci fait que nous pouvons rechuter plusieurs fois au même endroit. Comme dans les exemples déjà cités, qu’est-ce qui nous pousse à reprendre un conjoint « différent » certes mais avec le même type de problématique non résolue que le précédent ? Alors que notre âme veut avancer, s’épanouir dans la réalisation de nous-mêmes, « nous-mêmes » nous forçons souvent à rester dans un cadre archi connu et reconnu.

 

De tous temps nous pouvons vivre des drames importants ou simplement des petits tracas. Pour certains d’entre nous, la vie pourrait se résumer à un long roman de Zola dont nous connaitrions la fin tragique par avance. Certes, il est facile d’écrire tranquillement derrière un ordinateur mais il n’en a pas toujours été ainsi. Mon âme et moi-même avions des routes difficiles à parcourir et comme j’avais la tête dure et sans doute plus peur que les autres, il m’a fallu perdre beaucoup - et même au-delà - pour savoir ouvrir les yeux et enfin plonger mon regard dans celui de mon âme. Aujourd’hui, je suis là, non comme quelqu’un d’arrivé mais quelqu’un de vivant et qui continue d’avancer.

 

Notre âme est énergie pure et divine. Elle ne nous juge pas, elle nous accompagne et grandit avec nous. Elle nous aide à refaire les « exercices » que nous n’avons pas assimilés. Posons-nous un moment. En méditation ou simplement en fermant les yeux, acceptons d’aller à la rencontre de notre âme. Regardons « dans les yeux », nos yeux, la représentation de notre essence divine. Acceptons avec humilité de tout apprendre d’elle et guidons là aussi sur les chemins de la vie incarnée. Prenons-nous mutuellement par la main. Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises questions mais il y a forcément une réponse si nous nous les posons. Acceptons aussi que celle-ci puisse nous déplaire…

 

 

* En relisant cet article, cela me rappelle une anecdote véridique alors que je pensais avoir imaginé cet exemple. Comme quoi… Je pars régulièrement marcher le matin avant de commencer à travailler. J’emprunte à chaque fois un chemin qui traverse de grandes étendues de parcs à chevaux. J’aime les bordures de ces chênes qui l’encadrent et dont certains ont des formes exceptionnelles et un fort pouvoir énergétique. Les chevaux viennent parfois partager quelques brefs instants avec moi. Un matin donc, je suis tout à mes pensées… professionnelles lorsqu’une pierre sans doute plus haute que les autres me rappelle à l’ordre et m’envoie faire un formidable vol plané. Quelques douleurs mais plus de peur que mal et je me retrouve à plat ventre dans la boue, le nez dans l’herbe humide. J’entends aussitôt quelques galops de chevaux venir vers moi, curieux d’identifier le cri qu’ils ont entendu. Et puis je reste là. Etendu sur le sol, je regarde les gouttes de rosée sur les brins d’herbe, les chevaux vus d’en bas, la pierre qui m’a fait chuter, enfin tout un monde vu à raz de terre. Et là, je souris. J’étais parti me promener, partager avec Dame nature des moments privilégiés et me voilà à penser travail sans rien voir autour de moi ni même sous mes pieds… Quel rappel à l’ordre ! Ce chemin que j’ai parcouru des dizaines de fois auparavant me ramène tout à coup au niveau de la terre jusqu’à embrasser bien malgré moi la Terre Mère. Belle leçon d’humilité pour mon âme et moi-même. Alors aujourd’hui, à force de comprendre ou du moins de tenter (c’est déjà un début), les pierres sont de moins en moins pointues, je dirais même qu’elles se transforment peu à peu en pavés bien réguliers. Ces mêmes pavés qui faisaient d’antan une base ferme et solide pour cheminer sans risquer de se rompre les os.

 

Jean 

 

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