Bonjour à tous.
Nous allons traiter sur plusieurs articles de tout ce qui touche de près ou de loin à l’une de nos activités : La géobiologie. Le but est de faire découvrir les différents phénomènes que nous côtoyons quotidiennement et qui influencent forcément notre vie.
Ethymologiquement :
GEO : la terre BIO : la vie LOGIE : l’étude
Qu’est-ce que la Géobiologie ?
La géobiologie étudie tous les phénomènes cosmotelluriques et énergétiques qui interviennent sur le Vivant. Elle s’intéresse ainsi à ce qui se passe dans nos maisons, nos lieux de travail mais aussi dans les lieux sacrés par l’énergétique et la géométrie sacrée avec le nombre d’or. Bien connue de nos ancêtres, nous la redécouvrons aujourd’hui, nous européens, alors que dans certains pays d’Asie, le passage du géobiologue pour la détection des réseaux, des failles et des courants d’eau avant la construction d’une maison est aussi important que celui du géomètre.
Nos (très) anciens étant beaucoup plus proches de la Terre, de la Nature et leurs lois, les cromlechs (cercles de pierres), menhirs, dolmens et plus tard, églises romanes et cathédrales n’ont pas été construites n’importe où. Par exemple, la cathédrale de Chartres a été construite sur un haut lieu druidique de la forêt des Carnutes, de même pour le mont Saint Michel. Au-delà de la volonté avouée (ou pas) de l’Eglise romaine de faire disparaître tous les lieux de culte ou croyance païens en les remplaçant par des lieux chrétiens, l’autre véritable raison était de « récupérer » les fantastiques énergies présentes en ces endroits.
Ainsi, à l’ancien emplacement des autels des églises romanes se retrouvent un ou des courants d’eau + vortex et cheminées cosmotelluriques + croisement réseaux. Les réseaux sont parfois utilisés et démultipliés pour harmoniser l’édifice ou le protéger dans le cas des anciennes places fortes*. Si la présence de ces phénomènes est utile, voire indispensable pour des lieux sacrés, elle peut perturber la vie quotidienne lorsqu’elle est dans des lieux d’habitation en dérangeant l’équilibre et l’harmonie des habitants.
1/ ENERGIE COSMOTELLURIQUE
Tout le monde a déjà eu la sensation de se sentir très bien, ou très mal, en rentrant dans une maison inconnue, sans raison apparente. Ou tout simplement que sa vie a « changé » (en mal) lors de l’emménagement de son nouveau lieu de vie. Voyons les phénomènes les plus couramment rencontrés d’un point de vue tellurique (entités, âmes humaines, mémoire des murs, seront abordées dans un autre article) :
Différents phénomènes accentuent les énergies :
Réseaux Hartmann, Curry, Peyré…
Failles
Courants d’eau
Vortex
Cheminées cosmotelluriques
Courant tellurique
Installations magiques : carrés magiques (pour les églises)…
Les réseaux, les courants d’eau, les failles ont une grande influence sur notre vie, que nous le ressentions ou pas, sur les plans physique, émotionnel, mental. Chacun sait, instinctivement, qu’il est néfaste d’habiter au-dessus d’une faille ou d’un courant d’eau par exemple.
Réseaux telluriques: Ce sont des quadrillages de lignes telluriques énergétiques positives et négatives (en polarité) dans la terre (très profond) et au-dessus de la terre (très haut). Ils sont orientés nord-sud et est-ouest ou à 45° par rapport aux points cardinaux. Les réseaux ne sont pas un problème en eux-mêmes et il est difficile de leur échapper. Le réseau Hartmann par exemple présente un maillage d’environ deux mètres à deux mètres cinquante. Les lignes ensuite, sont plus ou moins larges s’il s’agit de simples lignes, doubles ou triples qui se répètent à cadence régulière. Pour faire simple et résumer le côté perturbateur du réseau Hartmann, il amplifie les perturbations électromagnétiques, peut « attirer » un autre phénomène cosmotellurique en présence d’un croisement de lignes triples par exemple. De même, si un croisement négatif de ligne double ou triple se trouve au niveau d’un lit, de la table de salle à manger, d’un bureau, en un mot, un endroit où l’on peut passer du temps, c’est directement l’énergie vitale de la ou les personnes qui s’en trouve perturbé.
Pour exemple, une harmonisation réalisée il y a quelques temps dans un ancien grand domaine viticole. (Pour plus de détails : http://energie-et-geobiologie.fr/expertise-geobiologie-maison-1-laurence-pierre.htm ). Au cours de l’expertise de la maison, par la détection des réseaux, nous découvrons un croisement du réseau Hartmann de niveau 3 (triple ligne) de polarité négative juste sous le lit du couple et notamment à l’emplacement du mari. Nous intervenons aussitôt. Le couple à « deux doigts » de quitter ce domaine après y avoir seulement emménagé un an auparavant, ne nous avait pas fait venir pour cette raison (voir le récit plus complet), toutefois, le lendemain, Pierre (le mari) nous a rappelé pour nous dire qu’il avait « dormi comme un bébé » et que c’était la première fois en un an. Ceci pour dire, qu’un phénomène tellurique « mal placé » peut gravement perturber la vie des habitants. Il est inutile de préciser toutes les conséquences sur la santé physique et morale d’une absence de sommeil…
Nous étudierons dans le prochain article, l’influence des failles et courants d’eau. Si vous voulez être certain de ne pas rater les prochaines parutions, abonnez-vous à notre lettre d’info en haut de la page d’accueil à droite.
A bientôt
Jean
*La démultiplication des réseaux était utilisée pour la protection des châteaux forts. Les bâtisseurs initiés démultipliaient les lignes de polarité négative pendant la montée au château pour augmenter la fatigue des assaillants.
De même, certains lieux sacrés bénéficient encore de leur protection énergétique. Il n’est donc pas forcément judicieux de stationner près des menhirs ou sous les dolmens lorsque cette protection est activée. Encore faut-il savoir la détecter…
Bonjour à tous.
Bonjour chers et chères zami(e)s, 
Bonjour à tous. Vous avez pu suivre plus ou moins en direct l’installation d’un bassin aux Cazalous. Après avoir joué à cache-cache avec le soleil à travers le feuillage bien dru à cette époque, nous avons enfin pu trouver les meilleures solutions pour alimenter la petite pompe solaire. En attendant la décoration finale, l’eau telle le geyser de Genève (ou presque), jaillit et lance ses gouttelettes à l’assaut des chênes sans espoir de les atteindre. Sans doute par la suite, ce jet d’eau se transformera-t-il en petite cascade. Des esprits de la nature (esprits de l’eau forcément…) ont déjà élu domicile à proximité. Les moustiques n’ont pas attendu plus longtemps pour pondre, quelques insectes aquatiques sont apparus, on ne sait d’où. Un chevreuil vient parfois s’abreuver à ce nouveau point d’eau, bienvenu par ces temps arides. Régulièrement une grosse libellule marque sa présence par un magnifique vol stationnaire. Enfin, les choses se mettent naturellement en place dans ce nouveau lieu de vie. 
Alors pourquoi pas des poissons ? Et bien, c’est maintenant chose faite. Trois espèces différentes de poissons rouges (et jaunes, et blancs) et deux petites carpes Koï sont venus nous rejoindre au milieu des bois. 
Voici quelques photos de la « mise à l’eau » des petits monstres. Ah oui, j’oubliais, certains habitués des lieux ont suivi avec grand intérêt l’arrivée de ces nouveaux amis… Voici quelques photos pour suivre ces moments privilégiés. 
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