Bonjour à tous. Voici un exemple d’harmonisation où l’on trouve à la fois des mémoires de colère, des âmes humaines et un changement de destination d’un lieu professionnel.
Frédéric et Pauline nous demandent de venir car ils ressentent de fortes tensions dans leur couple, des moments de colère réguliers chez Frédéric, des relations difficiles avec les voisins. Pauline quant à elle, éprouve les pires difficultés à lancer son activité d’esthétique alors que normalement, toutes les conditions sont réunies pour réussir.
La maison est une ancienne maison lotoise, en pierres et très proche des habitations voisines. Au départ, Frédéric est le seul habitant de ce lieu. Dès le début, nous notons un « problème de territoire ». En effet, dès les premiers instants de sa présence, Frédéric laisse régulièrement revenir l’ancienne propriétaire, une dame âgée pour chercher ses affaires. Un peu trop souvent pour que Frédéric soit réellement chez lui. De plus, la maison a été divisée en trois parties, elles-mêmes vendues à trois propriétaires différents dont Frédéric bien entendu. En outre, suite à ce fractionnement, un escalier a été condamné, celui-ci donnant directement chez un voisin (nous y reviendrons). Depuis l’arrivée de Pauline, les relations avec les voisins se sont dégradées, notamment avec l’un d’entre eux qui pénètre n’importe quand et sans gêne dans leur cour. Notre première action consiste à mettre en évidence cette problématique d’absence de « limite de territoire ». Il est important que Frédéric surtout, se fasse respecter d’autant que c’est une source importante de conflit avec Pauline (Pauline est plus stricte sur ce point).
Autre cause de déséquilibre à l’extérieur, un énorme et majestueux chêne a été coupé car ces racines s’enfonçaient sous la maison des voisins. Ils ne pouvaient certes le laisser ainsi mais sa coupe a totalement désharmonisé le lieu. La souche restante de l’arbre donne vraiment l’impression d’une force fantastique déchue dont il ne reste qu’un moignon. Frédéric à l’époque, a fortement ressenti cette perturbation. Un travail énergétique ramène l’équilibre.
Notre attention se porte ensuite sur les phénomènes telluriques présents. Nous découvrons la présence d’une cheminée cosmotellurique sur un croisement négatif Hartmann de niveau 3. Comme il est fréquent, cette cheminée est remplie d’âmes humaines. L’ensemble de ces trois phénomènes abaisse considérablement la fréquence vibratoire de la maison. Un rituel permet aux âmes de rejoindre la Lumière et nous opérons maintenant sur le croisement et la cheminée afin que leurs énergies ne perturbent plus le lieu.
Dans une autre pièce, un bureau, c’est l’ordinateur et tous les branchements électriques qui polluent fortement un croisement du réseau Curry qui, à son tour, perturbe le maillage du réseau tellurique. Frédéric devait changer l’emplacement de l’ordinateur, cela tombe bien… Intuitivement, il avait compris que cet emplacement était pathogène.
Dans la cuisine, Nathalie est attirée par une cheminée, bien physique celle-ci. Posé dessus, un tableau représente un escalier, sans début ni fin. Ce tableau est en résonnance avec l’escalier qui arrivait précédemment dans cette pièce « comme par hasard » et qui conduisait (justement) chez le voisin. Celui-ci continue à envahir sans vergogne « leur territoire ». A ce moment, Pauline ressent de l’émotion et de l’énervement, preuve que nous sommes sur le bon chemin.
En allant un peu plus loin dans la découverte du tableau, Frédéric nous révèle de nombreuses photos derrière, photos de personnes qu’ils connaissaient et toutes décédées.
Au-delà de la symbolique avec le voisin, c’est comme si l’escalier sans issue du tableau bloquait l’énergie des âmes présentes sur les photos. En tant que passeurs d’âmes, nous travaillons à la libération de ces énergies et demandons à Frédéric de ranger toutes ces photos ailleurs.
Toujours dans la cuisine, nous ressentons la présence d’une âme humaine. Nous l’identifions rapidement comme une femme âgée, plus précisément, la belle-mère de la femme qui a vendu la maison à Frédéric. Celle-ci est pleine de colère, de même que la mémoire des murs en général, d’ailleurs. En effet, cette femme a eu des relations intimes avec les allemands pendant la guerre. Cela a bien entendu créé un fort ressentiment de la part des autres habitants du village et en retour, une forte hostilité de sa part, face aux médisances villageoises. Frédéric, « sensible » à l’énergie présente, était entré lui aussi en conflit avec les autres habitants dès son emménagement. Pour ne rien arranger, le fils de cette âme et son épouse (l’ancienne propriétaire) l’ont laissée plus ou moins mourir de faim. On comprend mieux l’hostilité générale, la colère omni présente dans cette maison, qui rappelons le, influe directement sur les relations du couple. Un rituel libère enfin cette âme qui monte dans la Lumière. Ce qui est remarquable aussi, c’est que cette âme était à côté du cantou, là où se trouve aujourd’hui la cuisinière. La colère de cette âme passait donc directement dans la nourriture de Frédéric et Pauline. Cette dernière nous explique que comme « par hasard », c’est à propos de la cheminée qu’a eu lieu leur plus forte dispute.
D’autres phénomènes de moindre importance sont trouvés dont deux statues chargées de magie. Nous finalisons l’harmonisation de la maison en transmutant la mémoire des murs.
Au tour du cabinet d’esthétique de Pauline maintenant. Celui-ci est décoré avec goût et a pour thème la beauté. Alors que tout pousse au raffinement, à la douceur et la paix, nous ressentons rapidement des énergies totalement contraires. De nombreux obstacles (administratifs, techniques…) se dressent régulièrement sur la route de Pauline l’empêchant d’inaugurer officiellement son lieu de travail. Dernièrement, le chauffage (neuf) est tombé en panne dès son installation. Maintenant, Nathalie ressent une forte odeur de vin. Non que le vin soit négatif, mais ce n’est pas le lieu. Renseignement pris, avant le cabinet, se trouvait un garage et encore avant… une cave à vin… Ces énergies de vin, de vendange, des énergies bien masculines de viticulteurs, de paysans ancrés dans les traditions sont (et ce n’est pas péjoratif) à l’opposé des énergies qui devraient accompagner ce lieu dédié au féminin et au bien-être. Il n’est donc pas surprenant de constater toutes les difficultés que rencontre Pauline pour lancer son activité. La nouvelle fonction du lieu est en total désaccord avec la mémoire de ses murs. Un rituel de « changement d’activité » s’impose.
L’étude de ce lieu d’habitation et du local professionnel est vraiment très intéressante. En dehors de l’impact des phénomènes telluriques rencontrés, il met vraiment en valeur l’importance de la mémoire des lieux, pour la maison, colère perpétuelle, conflits avec les voisins et dans le couple, ceci renforcé par la présence de l’âme humaine. C’est exactement le même principe pour l’activité de Pauline. Les énergies précédentes notamment viticoles, créent un blocage pour la mise en place des nouvelles, plus sensibles à l’harmonie, au bien-être et au féminin.
Quelques temps après, Pauline nous confirmait le démarrage tant attendu de son cabinet. Il continue à se développer aujourd’hui de manière tout à fait satisfaisante.
Jean