Bonjour à tous,

« Bonne année, bonne santé », « meilleurs vœux » etc, à l’heure des textos et autres moyens de communications aussi simples que rapides, ces quelques mots seront sans doute les plus écrits ou dits ce mois-ci. Normal me direz-vous.

Lorsque j’étais encore enfant, mes parents me faisaient (gentiment) la leçon à partir du 1^er janvier : « dis bien, bonne année, bonne santé, au monsieur, à la dame, à l’oncle, au cousin etc ». Et de vous à moi, cela m’horripilait. Je voyais cela comme une corvée dont je me débarrassais le plus rapidement possible, parfois avant même de dire bonjour.

A l’époque du jeune adulte que je fus (et encore un peu plus tard), je n’appréciais toujours pas plus cette période de l’année. C’était encore plus difficile de me plier poliment à l’obligation des vœux que je trouvais hypcrite. Et que dire pour pour les personnes envers qui je n’avais pas de considération, d’affinité ou pire ? J’étais malgré tout politiquement correct.

Je porte aujourd’hui un autre regard sur cette tradition. Le début d’année est un peu comme une trêve de noël (ce qui s’est parfois traduit dans les faits en temps de guerre). Mettant de côté les tensions, les ressentiments, tout ce qui nuit à l’amour de l’autre, nous prononçons ces mots avec plus ou moins de sincérité certes, mais ils ont au moins le mérite d’être dits. Ces vœux sont émis tel un rituel, des phrases magiques et même si l’intention n’est pas aussi présente qu’elle le devrait, j’ose croire que le Verbe est plus puissant que les animosités ou l’indifférence. J’ose croire qu’à force de répéter ces mots, qu'au moins une infime partie touche le cœur de l’autre et que cette vibration se répand dans tout l’Univers, alors perpétuons cette tradition à l’infini. Essayons mêmes pour les « cas difficiles » de les prononcer avec conscience, en reconnaissant le Divin qui est en l’Autre et non « l’ennemi ». Je parle de ceux avec qui nous n’avons pas « d’affinités ». Il est évident que pour les personnes que nous aimons, il n’y a aucune difficulté (hormis le fait de le faire en conscience). Répétons ces mots magiques avec ou sans la personne en face. Souhaitons aussi cette bonne santé, cette harmonie, à l’Univers, à la Terre Mère qui en a tant besoin, à tous les êtres vivants, de notre monde ou pas. La physique quantique continue d’explorer et découvrir ce que les chamanes, hommes et femmes médecine et tous les êtres éveillés quels qu’ils soient savent depuis toujours, nous ne sommes qu’Un et faisons tous partie de la même énergie. Alors souhaitons nous, à nous aussi, une bonne santé, une paix infinie, une belle harmonie et tout ce que ce que nous désirons dans la justesse de la Vie.

Quant aux enfants d’aujourd’hui, déjà bien en avance sur nous, peut-être la paix gagnerait-elle du temps en leur expliquant le pourquoi et le bienfait de ces mots. Peut-être même qu’un jour, ces vœux de bonheur seront-ils souhaités toute l’année, et pourquoi pas ?

En attendant, et en toute sincérité :

BONNE ANNEE, BONNE SANTE

ET QUE LA VIE VOUS APPORTE LE MEILLEUR POUR VOUS-MÊMES.

Illustration: La rencontre en sous bois de Chloë Quiban, son site vec de merveilleuses illustrations à vendre : www.chloequiban.book.fr

Jean

"Le but de cet article n’est pas d’analyser les conséquences des traumatismes de notre enfance/ adolescence mais d’introduire la vidéo de méditation consacrée à « la rencontre de nos parents divins ».

« Pourquoi avoir des parents divins ? J’ai bien assez des miens, et ce n’est déjà pas de la « tarte »… » Et si vos véritables parents n’étaient pas ceux que vous croyez ???? Je ne suis pas en train de vous expliquer que vous avez été recueilli dans un panier à la porte d’un couvent mais simplement que nous avons tous à gagner à aller voir au-delà de l’évidence.

La majorité des personnes que nous rencontrons en séance énergétique ou en harmonisation de maisons n’ont pas eu les parents qu’ils « espéraient ».  Enfants, elles rêvaient de parents idylliques, un peu comme dans les films des années cinquante où toute la famille est merveilleuse (et un peu nunuche) à souhait. Plus sérieusement, rares sont les personnes qui nous disent avoir eu une enfance heureuse, c’est-à-dire sans regrets avec le recul, avec tout l’amour qu’elles attendaient, sans traumatisme etc. Pourquoi ? Tout simplement parce que nos parents et nous à notre tour ne sommes « que » des humains et que ce rôle ne s’apprend pas à l’avance. Même lorsque nous croyons bien faire, répondons-nous réellement à l’attente de l’enfant ? En outre, combien de phrases assassines du genre « tu n’arriveras jamais à rien », « qu’est-ce que je vais faire de toi », « tu me fatigues » etc se sont inscrites en lettres de feu dans notre cerveau… et celui de nos parents avant ? Et ces phrases se rappellent à notre bon souvenir au fil d’une remarque, d’une situation tout en pulvérisant en quelques secondes toute initiative ou courage.

Beaucoup d’adultes souffrent aussi après coup, de l’absence du père. Plusieurs raisons à cela. Pour toute une génération d’après-guerre la priorité a été le travail, la reconstruction, et non offrir son amour à ses enfants. Pour d’autres plus près de nous, cette absence n’est reconnue que depuis peu car pas évidente à repérer puisque le père était bien là physiquement. Il était toutefois sans implication réelle dans la vie quotidienne hormis éventuellement pour faire « régner l’ordre familial». Pour d’autres, le moment de notre vie où nous sommes censés être protégés, choyés, dorlotés s’est parfois transformé en long apprentissage de la vie… par la souffrance d’une séparation, d’une incompréhension latente, ou d’une violence répétée…

Même si globalement, il y a un soupçon d’amélioration, de graves traumatismes naissent encore des relations parents-enfants. Que faire ? Changer nos parents ? Se faire adopter par d’autres, plus « gentils », plus riches, plus pauvres, partageant un peu plus nos passions ? Pas facile… Et si nous regardions les choses d’une manière différente ? Quelles que soient nos croyances, notre éventuelle religion, nous sommes issus du Divin et nous le portons en nous. Lorsque notre âme choisit de s’incarner sur terre, elle vient de quitter l’Amour inconditionnel Divin. Elle passe donc d’un état d’Amour, de Lumière Divine, de paix pour un monde chaotique. La difficulté n’est pas d’arriver dans une famille humaine (que nous avons choisie) en proie à ses peurs humaines mais de retrouver d’où nous venons. Au cours d’une méditation, j’ai eu l’image d’autres parents que les miens purement humains, plus grands, plus lumineux. Ils me sont apparus comme étant la Terre Mère et le Père Divin (appelez les comme vous le voulez). Si nous reprenons conscience d’être leurs enfants (comme les amérindiens entre parenthèse), dès lors, nous changeons radicalement de vision, d’énergie et surtout, de regard sur le monde… et sur nous ! Nous nous reconnectons à cette Essence Divine, à cette Source Divine que nous passons inconsciemment notre temps à chercher. Dès lors, nous avons la certitude d’être accompagné, guidé, de ne plus jamais être seul et surtout, d’avoir retrouvé cet amour inconditionnel de nos… véritables parents. Il ne s’agit pas de renier nos parents physiques, mais simplement d’accepter notre filiation divine au-delà de ce que l’on nous a enseigné. Plutôt que d’expliquer en large et en travers comment ressentir et percevoir ce que je vous explique, nous vous proposerons d’ici quelques jours, une vidéo de méditation qui vous aidera à retrouver ces Parents Divins dont nous avons tant besoin.

A bientôt

Jean

Bonjour à tous.

Deux nouvelles « présences » nous ont rejoint ces jours derniers et pas des moindres. Il s’agit d’une belle statue de Marie (enfin nous, nous la trouvons belle) et d'une de Bouddha.

Celui-ci, installé près du bassin, apportera sa protection aux oiseaux qui viendront boire entre ses mains.

Quant à Marie, placée à un endroit hautement énergétique, elle saura diffuser paix et amour à qui viendra lui rendre visite.

Leurs énergies nous offrent une belle invitation à méditer parmi les arbres.

A très bientôt

Jean

Bonjour à tous.

Nous allons traiter sur plusieurs articles de tout ce qui touche de près ou de loin à l’une de nos activités : La géobiologie. Le but est de faire découvrir les différents phénomènes que nous côtoyons quotidiennement et qui influencent forcément notre vie. Dans l’article précédent voir : http://0z.fr/Zttfa, nous avons traité des réseaux telluriques et leur influence sur notre vie. Aujourd’hui, nous abordons les phénomènes de failles et de courants d’eau souterrains.

Comme nous le signalions dans la première partie de cette étude, les failles et courants d’eau ont une grande influence sur notre vie, que nous la ressentions ou pas, sur les plans physique, émotionnel, mental. Chacun sait instinctivement, qu’il est néfaste d’habiter dans une maison traversée par de tels phénomènes.

Failles : Cela englobe, fissures, cavité, fractures etc. Il est possible de les mesurer avec un géomagnétomètre car il y a augmentation du champ magnétique terrestre sur une faille. Cela entraine une perturbation du champ vital et des chakras.

Lorsque l’on dort sur une faille, les symptômes les plus courants sont, vue troublée, fatigue, lourdeur, épuisement, instabilité émotionnelle, maux de tête, dépression, irritabilité, maladie grave, angoisses, etc… 

En symbolique, nous retrouvons : la rupture, séparation, divorce, changement de vie, nouveau cap à prendre, difficultés à s’incarner, abandon d’anciennes idées, repli sur soi, etc

Courants d’eau souterrains : Selon les régions, les courants d’eau souterrains sont plus ou moins fréquents. Ils observent le même type de parcours que les ceux à l’air libre. Ils diminuent le champ magnétique et perturbent les réseaux telluriques. Autant l’eau est indispensable à la vie, et avoir un puits peut être une bénédiction, autant un courant d’eau « mal placé » peut avoir de lourdes conséquences pour notre santé. Il abaisse notre champ d’énergie vitale en entraînant notre énergie avec lui.

Il est important à ce stade de faire le parallèle entre « l’énergie eau » et « l’énergie argent ». Une eau qui circule telle une rivière sera plus vivante (énergétiquement parlant) qu’une marre stagnante. L’eau et l’argent ont besoin de circuler de la même manière. Toutefois, lorsque l’on vit au-dessus d’un courant d’eau, celui-ci entraine avec lui, notre énergie et celle de notre argent.  En clair, nombreuses sont les personnes que nous avons rencontrées qui se plaignaient de difficultés financières (pour d’autres raisons que le contexte actuel) et qui étaient comme « par hasard » sur un courant d’eau.

Froid, maux aux reins, oppression, douleurs articulaires, vessie fragile, jambes lourdes, maladies chroniques, paresse, fatigue, rétention d’eau, peuvent être des signes que nous sommes sous l’influence d’un courant d’eau.

En symbolique, manque d’argent, problèmes sexuels, projets qui tombent à l’eau, tendance à garder les émotions à l’intérieur, sentiment de survivre, problèmes émotionnels, problèmes avec la mère, etc.

En se basant sur notre expérience d’harmonisation des lieux, nous rencontrons quasiment à chaque fois des courants d’eau sous des lieux d’habitation de familles souffrant de problèmes financiers. A contrario, nous ne détectons vraiment que très rarement de l’eau sous les maisons de personnes « à l’aise » financièrement. A méditer avant de construire sa maison ou d’emménager dans un nouveau lieu…

La prochaine fois, vous aurez droit aux vortex et cheminées cosmotelluriques.

A bientôt

Jean

Bonjour à tous.

Voici une petite vidéo qui relate une étude de géobiologie dans un domaine viticole de vin de Bordeaux, « Château Ferran » à Saint Pierre de Bat http://www.chateau-ferran.fr/ . La demande des exploitants fait suite au passage sur M6 de l’émission « Enquêtes extraordinaires » réalisée par l’INREES et qui traitait de la géobiologie.

Agriculture biodynamique :

La famille Ferran travaille en biodynamie et de la biodynamie à la géobiologie, il n’y a qu’un pas… vite franchi ! En effet, même si les méthodes sont différentes, il y a malgré tout beaucoup de points communs entre elles, notamment le respect de la Terre Mère et du Vivant en général.

Bureau et ondes électromagnétiques :

Nous avons tout d’abord commencé par l’étude des pollutions dues aux ondes électromagnétiques. Téléphones sans fil et portable, ordinateurs etc, apportent leurs effets néfastes au quotidien. Ces outils de travail restant malgré tout indispensables même pour une exploitation  biodynamique, nous avons rectifié l’impact de ces pollutions par des conseils d’aménagement et la pose d’orgonites.

Vortex, faille tellurique et orgonite :

En quelques mots, l’étude en géobiologie a révélé, outre la mémoire des murs et autres « énergies » habituelles, les présences de deux vortex, d’un croisement tellurique du réseau Curry niveau 3 et d’une faille tellurique sur le domaine.  La présence d’une telle faille tellurique est toujours problématique. Lorsqu’elle se trouve sous un lieu d’habitation, elle perturbe dangereusement la vie et l’harmonie des habitants. Ici, elle diminuait globalement le taux vibratoire (fréquence du lieu) et attirait bien entendu nombre d’énergies négatives et de difficultés supplémentaires. D’ailleurs, c’est en localisant la faille tellurique dans le cuvier notamment, que Julien Ferran a fait le rapprochement avec des difficultés à répétition dans la fermentation de deux cuves qui comme « par hasard » se trouvaient justement… sur la faille tellurique. Après quelques mesures, nous avons décidé de réajuster l’énergie et l’harmonie du lieu avec notamment une puissante orgonite.

Vortex niveau 3:

Nous avons donc découvert deux vortex, un de niveau 2 et un de niveau 3. Ce dernier est situé dans le chaix à barriques où le vin de Bordeaux sélectionné vieillit tranquillement dans des fûts de chêne. Dès que nous sommes arrivés dans cet endroit, j’ai eu aussitôt l’impression d’être dans un sanctuaire dans le bon sens du terme bien entendu. En plus de sa culture biodynamique, le vin mis en fût est sous la dynamisation directe du vortex, que demander de plus ?

Vortex niveau 2 et dégustation de vin Château Ferran:

Le deuxième vortex se trouve dans la salle de dégustation. Après avoir démontré physiquement aux personnes présentes l’existence du vortex en l’activant, nous avons décidé de réaliser une expérience sur du vin de Bordeaux déjà en bouteille. Un vin blanc fut choisi. Nous avons laissé une bouteille au centre du vortex jusqu’au lendemain midi. Ce jour-là, en prenant comme témoin une bouteille voisine mais qui était restée stockée dans son emplacement d’origine, les exploitants (bien plus qualifiés que nous pour ce test !) ont fait une dégustation en aveugle des deux bouteilles. Le résultat fut étonnant. En effet, le goût du vin placé sur le vortex avait radicalement évolué… dans le bon sens, ouf ! Pour être honnête, nous étions Nathalie et moi totalement incapables de dire de quelle manière évoluerait le vin tout en sachant qu’il y aurait forcément un impact. Julien et Alain Ferran ont décidé de renouveler les tests sur différents crus afin de tirer encore un meilleur parti de leur production biodynamique (quand je vous disais que nous avions des points communs à partager…).

Un accueil excellent de Béatrice, Alain et Julien Ferran du domaine de Saint Pierre de Bat http://www.chateau-ferran.fr/ , des échanges fructueux tant professionnellement qu’humainement ont fait de ces deux jours une très riche expérience. A renouveler…

A bientôt

Jean

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.